• (extraits d'un communiqué de presse de Next-Up du 20 décembre 2016)



    Après la récente décision du Tribunal d’Instance de Grenoble d’ordonner la désinstallation de nouveaux compteurs d’eau à modules Radio-Fréquences et la réinstallation des anciens compteurs suite à la reconnaissance du handicap d’Électro Hyper Sensibilité, l’organisation environnemental Next-up annonce que c’est maintenant l’autorité administrative Préfectorale d’Ille-et-Vilaine qui vient d’ordonner sur saisine de Philippe BONNIN Maire de Chartres de Bretagne, le démontage d’un compteur connecté Linky pour atteinte à la santé d’une femme de 40 ans, mère de deux jeunes enfants.

    En effet dans la journée du 09/11/2016, la société Feedback prestataire d’ENEDIS installe en son absence un compteur connecté Linky, son coffret de comptage étant situé à l'extérieur.
    Le soir lorsqu’elle rentre chez elle sans savoir que son compteur a été changé à son insu, elle rencontre des premiers problèmes de santé, puis sic : "Je m'en suis aperçue le soir suite à des bourdonnements et des mots de tête. J'ai très peu dormi et j'ai été très gênée par ces bourdonnements."
    Le lendemain au soir, Madame L fait un malaise en bas de l'escalier de son domicile, elle venait juste d'achever la descente de ce dernier.
    Elle s’évanouit d'un coup et chute, son mari, présent, pense immédiatement à un arrêt cardiaque, il appelle les secours qui arrivent rapidement sur place et prennent en charge Madame L. Elle reprend connaissance dans l'ambulance. 

    "Il est constaté que lorsqu’elle dort chez ses amis aucun problème de santé ne survient" déclare Serge Sargentini de l’organisation environnementale Next-up qui apporte une aide logistique au Collectif de Chartres de Bretagne.

    Le 14/11/2016 Madame L rencontre Monsieur Philippe BONNIN le Maire de Chartres de Bretagne avec 5 membres du Conseil Municipal lors d’une réunion de crise. Le Maire indique, sic ; " qu’il considère les faits et le témoignage de Madame L particulièrement troublant surtout du fait que Madame L n'est pas du tout une militante anti-Linky." Il rajoute, "qu’ayant connaissance de ces faits que Madame L. a transcris dans un témoignage écrit, il a obligation de remonter en urgence ce problème sensible au Préfet d’Ille-et-Vilaine". 

    Le 23/11/2016, Monsieur Philippe BONNIN Maire annonce que suite à la réunion qu'il a eu avec le secrétaire du Préfet d’Ille-et-Vilaine, l'ordre de démontage du compteur Linky de Madame L a été pris par l’autorité Préfectorale.

    . Suite à ces graves évènements l’organisation Next-up a fait délivrer par Huissier de Justice une Sommation Interpellative à Monsieur Philippe Monloubou Président du Directoire d’ENEDIS pour demander en conciliation que les refus des compteurs Linky par les consommateurs qui sont dûment signifiés par Sommations ou lettres recommandées soient respectés.

    contact@next-up.org

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  • Voilà ce qui peut arriver quelquefois, selon le poseur. Peut-être certains manquent-ils au moins de délicatesse, mais aussi de renseignements.

    Voici (citation intégrale) ce qui est apposé en explication de cette vidéo sur  YouTube.  Bien entendu la personne pourra déposer une plainte, l'assignation de l'huissier faisant foi, pour exiger le retour de son compteur NON COMMUNICANT.

    Aix en Provence, 3 novembre 2016 : sans prévenir les habitants, un sous-traitant d'ENEDIS vient poser des compteurs Linky dans un immeuble. Une résidente s'y oppose et présente au technicien la "sommation de ne pas faire" que l'huissier a remis à ENEDIS en son nom plusieurs semaines auparavant. Le poseur n'a rien voulu savoir et la personne n'a pas réussi à empêcher le remplacement de son compteur.




    Surtout, il ne faut jamais se laisser intimider. Philippe Monloubou, président d'ENEDIS, a lui-même affirmé devant une commission parlementaire qu'il ne pouvait pas imposer ce compteur. Dont acte.

    Nous rappelons aussi qu'effectivement ce sont bien les collectivités locales qui possèdent les compteurs : et même spécifiquement, bien que les maires assez souvent "se défaussent" sur les communautés de communes ou les métropoles, il semble bien selon les textes en vigueur que les communes restent les propriétaires des réseaux, donc des compteurs. Et ce, même si elles ont délégué la gestion à d'autres. Donc, en cas de gros pépin, qui sera déclaré responsable ?

    JC
     

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  • Il faut se souvenir que ces ondes s'ajoutent partout à celles déjà diffusées avec prodigalité par les émetteurs de télévision, ceux des forces de l'ordre, ceux des antennes-relais de tous ordres dont le support du téléphone mobile 2G, 3G, 4G... et puis celles plus proches encore des téléphones portables que vous avez toujours dans votre poche, ou... à l'oreille !  Ne pas oublier les téléphones dits "fixes", mais sans fil (DECT), très agressifs également, les lampes dites basse consommation dont l'allumage provoque un gros pic de puissance et d'émission et qui émettent par saccades, les plaques à induction, les fours à micro-ondes vétustes.
     
     



    Déjà il y a quelques années, un article dénonçait les dangers de la 2G pour les êtres vivants, et craignait l'arrivée de la 3G. On est passés sans vergogne à la 4G bien plus prégnante et agressive, mais ce n'est pas grave : cela ne dépasse pas les normes.


    En France, où l'on applique les recommandations "européennes", selon les gammes d'ondes les seuils s'étagent de 40 à 56, voire 60 volts par mètre. Ah non, non, non, on ne dépasse pas. C'est bien.


    L'OMS souhaite qu'on ne dépasse pas, par sécurité, le seul de 0,6 V/m. C'est ce que s'impose, par exemple, la Hongrie. D'autres se contentent de 6, 10.... comme on le constate, la France est le bon élève, le chouchou de la Commission...

    Ce croquis rapide de ce matin indique que les ondes, nous baignons dedans : celles dispensées par nos chers compteurs ont la particularité de se projeter par impulsions, brèves, mais d'autant plus impactantes : ceux qui naissent maintenant risquent de les subir toute leur vie ; il n'est pas certain qu'elle ne soit pas abrégée par ce régime, d'une façon ou d'une autre. Cancers, maladies de dégénérescence ou de dérèglement hormonal ou immunitaire, tout est possible. Ce sera sur le long terme, donc bien plus encore que pour l'amiante par exemple, les personnes affectées ne pourront se retourner contre personne. Comme les assurances se gardent bien de prendre en charge ce risque, ce sera tant pis pour les victimes.
     
    C'est bien pourquoi il est si important de réagir tout de suite, alors que les déploiements n'en sont qu'à leur début. Réagir individuellement, interpeller nos élus locaux afin qu'ils prennent des mesures de sauvegarde en refusant ces compteurs. Malgré la propagande officielle qui soutient le contraire, ils en ont le droit. Le bien de leurs administrés passe très largement avant les revenus déjà colossaux de grands industriels, et le besoin maladif de la part de politiciens pervers de surveiller ceux qui pourraient précisément en avoir assez de leurs intrusions tous azimuts.

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  • Danger des ondes électromagnétiques :
    voici comment répondre à ErDF

    (ou à quelqu'un qui vous ressort les arguments d'ErDF)



    1) Ne vous laissez pas enfermer dans un débat technique (Volts, Mhz et cie)
    La controverse sur les ondes électromagnétiques fait rage,
    nul ne peut assurer que le système Linky n'est pas dangereux,
    cela nous suffit amplement pour refuser de servir de cobayes !

    La tactique désormais bien connue des communicants d'ErDF est d'essayer de rester le plus longtemps possible sur la discussion technique sur les ondes :

    - pour éviter de s'étendre sur les autres graves problèmes (mise en cause de la vie privée, augmentation des factures, instrumentalisation des communes à des fins industrielles et commerciales, etc)
    - parce qu'ils vont pouvoir sur ce terrain se targuer de leur compétence industrielle et tenter de ramener les contradicteurs au rang d'ignorants qu'il convient d'édifier ou d'inquiets qu'il convient de rassurer...

    Il faut donc parler des ondes, bien sûr, mais sans se laisser enfermer et piéger dans ce débat...

    La seule certitude dans cette affaire, c'est qu'il y a… de grandes incertitudes ! Les industriels prétendent (comme pour l'amiante, le tabac, le nucléaire ou les pesticides, d'ailleurs) qu'il n'y a "aucun risque" avec les compteurs communicants, mais de nombreuses autres sources disent l'inverse.

    Même la très prudente OMS(Organisation mondiale de la santé) se demande "si une exposition faible mais prolongée est susceptible de susciter des réponses biologiques et de nuire au bien-être de la population".
    L'OMS ajoute que "les données actuelles ne confirment pas l'existence d'effets sanitaires"… mais reconnaît par contre que "notre connaissance des effets biologiques de ces champs comporte encore certaines lacunes et la recherche doit se poursuivre pour les combler"
    (http://www.who.int/peh-emf/about/WhatisEMF/fr/index1.html)
    D'ailleurs l'OMS a officiellement classé les ondes électromagnétiques "cancérigènes possibles".

    Or, s'ils sont installés, les compteurs Linky auront entre autre pour conséquence de nous soumettre à une exposition prolongée (et même permanente), en particulier par le biais des données véhiculées par la technologie du CPL lesquelles, contrairement à ce que prétend ErDF, circuleront dans tout le logement (voir ci-dessous l'information reconnue par le constructeur des Linky) en suivant les fils électriques insérés dans les murs (fils qui vont jusqu'aux prises, aux ampoules, etc).
    Or, la plupart du temps, les lits sont contre les murs, il est donc évident que, si le système Linky est mis en place, des millions de personnes vont se retrouver toutes les nuits soumises à ces fameuses "expositions prolongées", avec la perspective de développer des cancers en quelques années voire quelques mois (nous sommes inégaux face aux rayonnements et contaminations).

    Et n'oublions pas les ondes émises par les nombreux matériels associés aux compteurs communicants (répartiteurs, répéteurs, concentrateurs, etc) qui seront installés un peu partout dans la commune, ainsi que la réexpédition des données depuis les transformateurs de quartier (qui sont souvent proches des logements) par téléphonie mobile.

    Donc, nul besoin de batailler pendant des heures avec ErDF (ou avec ceux qui nous ressortent les "éléments de langage" d'ErDF) sur les mégahertz, les volts, ou même les légumes marinés.

    Et nul besoin d'être ingénieur pour se défendre : nous ne sommes pas demandeurs des Linky, ce n'est donc pas à nous de démontrer leur dangerosité, c'est à ErDF de prouver indubitablement leur innocuité or, en présence de cette controverse scientifique, et sauf à prétendre être plus savants que l'OMS, ils ne le peuvent pas.

    Conclusion : nos compteurs actuels fonctionnent parfaitement bien, ils ne menacent ni notre santé ni nos libertés, nous devons donc les garder et ne pas servir de cobayes pour tester sur nous et nos familles la dangerosité des compteurs communicants.


                                                                Arguments complémentaires :
    Même si vous devez éviter que la question des ondes ne phagocyte tout le débat, vous aurez peut-être besoin de ces données :


    2) Attention aux "normes légales"

    Les "experts" assurent que les ondes émises par les Linky sont "en dessous des normes légales". Mais, comme pour la radioactivité ou les pesticides, ces normes n'apportent aucune garantie d'innocuité. Bien sûr, il vaut mieux subir une petite irradiation ou contamination qu'une forte. Mais cette "petite" dose, même légale, n'est pas anodine pour autant. Il n'a jamais été démontré scientifiquement de "seuil" en dessous duquel il n'y aurait aucun risque…


    3) Trois compteurs communicants par logement !

    Ce n'est pas UN compteur communicant qui est prévu mais au moins trois par logement (électricité, gaz, eau). Les uns (les Linky) génèrent des rayonnements par CPL (*), les autres envoient des ondes radios… quand bien même les ondes de l'un seraient "acceptables", que dire de l'accumulation des ondes générées par 3 compteurs ? Et bien pire : dans un immeuble de dix logements, le local technique contiendrait 30 compteurs communicants, juste à côté et sous certains logements. Sans parler des concentrateurs, répétiteurs, antennes qui doivent être installés dans nos rues, près de nos habitations, pour transporter toutes ces données…


    4) Les données des compteurs communicants sont expédiées par téléphonie mobile

    Si les compteurs Linky sont installés, ils envoient leurs informations vers les transformateurs de quartier, situés très souvent près des habitations, d'où elles repartent par téléphonie mobile ! ErDF vous trompe donc habilement en affirmant que les Linky n'utilisent pas la téléphonie mobile…


    5) Le CPL circulera dans tout votre logement

    Contrairement à ce que prétend ErDF, le CPL ne s'arrête pas au compteur et se diffuse dans tout le logement. Cette donnée cruciale a été reconnue, de façon très honnête, par le propre constructeur de Linky, William Hosono, directeur Europe de la société Itron, lors du débat "éco" de Sud-Ouest, le mercredi 2 mars 2016 à la Cité Mondiale de Bordeaux.


    6) Le système Linky est ÉVOLUTIF : le pire est à venir

    En clair, c'est la stratégie du cheval de Troie : l'objectif d'ErDF est d'installer 35 millions de compteurs Linky, sans que soient utilisées dans un premier temps toutes les "potentialités" de ces appareils. C'est une fois qu'ils seront en place que le crime pourra être pleinement consommé. Si vous pensez qu'il s'agit se supputations voire de "complotisme", lisez donc cet extrait d'une brochure d'ErDF (bien différente de celles distribuées au public ou aux élus) :
    "Le programme Linky a pour ambition de créer un standard mondial de l’industrie du comptage évolué. Pour y parvenir, ERDF a bâti un système évolutif utilisant des technologies de pointe, capables de gérer de très importants flux de données.
    Nous ne sommes encore qu’aux prémices de l’exploitation de toutes les potentialités de ce compteur : Big Data, usages domotiques, objets connectés...

    L’installation des compteurs communicants bénéficiera à l’ensemble de la filière électrique. Le programme Linky est suivi de près par les acteurs majeurs du secteur de l’énergie : fournisseurs, distributeurs, producteurs, équipementiers, startups
    "

    http://www.erdf.fr/sites/default/files/DP_Signature-Convention_ERDF-ADEME.pdf , page 6


    Retenez bien la conclusion de ce passage : les programmes de compteurs communicants sont faits pour répondre à des ambitions industrielles et commerciales, et certainement pas pour les usagers !

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