• Pas de doute. Comparer les rapports "officiels" et ceux d'un amateur TRÈS éclairé (sans doute un vrai pro à la retraite) revient à comparer le jour et la nuit.

    On ne mesure pas les mêmes choses, il faudrait même dire, de la part des "officiels", on ne mesure SURTOUT PAS les mêmes choses.

    Il n'y a aucune ressemblance entre des mesures de champs calibrées, dans un environnement neutre de labo où tous les facteurs sont optimisés pour avoir un résultat "propre", et des mesures effectuées dans de vrais logements (appartements ET maisons individuelles pour voir les différences) avec les instruments adéquats cette fois. Paradoxalement, c'est l'amateur qui a tenu compte de ce qui pourrait gêner la mesure. Il a pris la peine de neutraliser grâce à des filtres passe-haut le courant alternatif normal, ce qui nous donne en résultat les perturbations seules.  Il a utilisé différents oscilloscopes selon les cas, vu qu'on ne manœuvre pas exactement le courant triphasé et le monophasé habituel. Incidemment, pour ce que j'en sais, en Suisse ils ne se posent pas de questions : tout le monde est alimenté en triphasé, même quand la consommation ne le justifie pas. C'est plus cher !



    Nous avons regroupé dans un même fichier zip les deux rapports, celui de l'ANFR, et celui de notre vrai pro indépendant.


    Il ne fait absolument aucun doute qu'on décèle immédiatement deux choses :

    – sans être en continu, les salves diverses de trains d'ondes véhiculées par le CPL dans tout le logement surgissent aléatoirement, mais avec une fréquence allant de quelques secondes à deux ou trois minutes : cela laisse déjà supposer qu'on assiste là à des émissions provenant non seulement du CAPTEUR du logement, mais aussi de ceux des autres appartements. Et tout cela jour et nuit !

    – le constat de leur irrégularité de courbe indique qu'effectivement ce sont des ondes provenant de plusieurs sources, qui s'entrechoquent, qui interfèrent avec des "nœuds" et des "ventres", voire des pointes aiguës largement supérieures à la moyenne.

    Pas la peine de comparer ces résultats avec les normes officielles françaises, parmi les plus laxistes d'Europe : pour donner un exemple, en  Hongrie les tolérances sont à peu près cent fois plus faibles. Mais en Hongrie, ne sévit pas EDF, belle multinationale qui a l'intention d'essaimer son LINKY, sa fierté, son collecteur universel de BIG DATA, dans le monde entier.

    Comme c'est quasi-permanent, la bouillie résultante ne peut que faire très mal aux appareils, mais aussi et bien plus encore aux être vivants. Doit-on s'étonner, alors, que des personnes jusqu'alors en bonne santé, soudain dès la pose, se mettent à subir des acouphènes, des migraines, des pertes d'équilibre, des pertes totales de sommeil, voire des accidents cardiaques comme récemment à Chartres de Bretagne ?

    Bien entendu, Enedis fait tout son possible pour étouffer ces infos pertinentes et gênantes, ce qui ne l'empêche pas de redoubler d'exigences envers les poseurs pour qu'ils aillent le plus vite possible dans leur besogne. Tout cela quitte à ce que la sécurité de l'installation ne soit plus aussi bonne. Ne nous a-t-on pas affirmé que les incidents de pose allant jusqu'à l'incendie auraient une fréquence de deux ou trois fois par semaine ? Vos journaux n'en relèvent certainement pas autant.

    pour le collectif 44 contre Linky,
    Jean-Claude

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  • Au collectif 44 contre Linky, nous avons l'habitude maintenant de nous inviter à tout ce qui concerne l'électricité et l'électromagnétisme.

    C'est pourquoi quand, hier au rassemblement devant la préfecture, quelqu'un nous a apporté cette information, il nous a paru souhaitable de proposer à tous ceux qui le peuvent, de s'inscrire à cette conférence :  ne serait-ce que pour rappeler que nous, citoyens, sommes concernés par notre avenir. Y compris l'avenir électrique.



    L'électricité est devenue un élément absolument incontournable de notre vie. Un texte récent rappelait ce qui pourrait arriver en cas de black-out électrique.

    – plus d'eau au bout d'un moment (l'électricité anime les pompes qui montent l'eau dans les châteaux d'eau)

    – plus d'essence (en raison des pompes là encore)

    – usines bloquées, organismes divers également (leur autonomie se compte en heures, voire moins)

    – plus d'ascenseurs pour les personnes à mobilité restreinte

    – plus de portes automatiques, bloquées en position fermée ou ouverte, plus d'escaliers roulants, de tapis roulants, d'entrée ou sortie automatique aux péages de véhicules ou aux sas de personnes

    – plus de métros, ni de tramways

    – plus d'appareils électro-ménagers

    – plus de téléphones quand les groupes de secours des réémetteurs ne seront plus approvisionnés en fuel 

    – de nombreux morts chez les malades à domicile soumis à l'assistance d'appareils genre poumons d'acier ou appareils de dialyse

    On peut imaginer les paniques, les scènes de pillages, et tout le reste. C'est d'ailleurs ce qui pourrait arriver si des hackers prenaient les commandes des réémetteurs Linky, puisqu'il a été signalé que pour permettre leur déploiement, il a été rendu nécessaire de renoncer à des sécurités dans les réseaux de transmission interne de distribution électrique. 

    Tout cela est très sérieux. Des pannes de ce genre ont déjà eu lieu. Ce serait bien pire aujourd'hui, parce que petit à petit nous sommes de plus en plus vulnérables à un besoin indispensable d'électricité. On peut même rire, à propos de ceux qui ont choisi pour se déplacer la voiture électrique.

    A propos de celle-ci, rappelons aussi que parmi "les bienfaits du Linky" figure la possibilité pour celui-ci de se permettre d'inverser la charge des batteries. Si vous branchez votre voiture le soir, pour la retrouver en pleine forme le lendemain matin, Enedis ne se privera pas de la possibilité si elle considère que cela s'avère nécessaire de pomper sur ce qui reste dans les batteries du véhicule au lieu de les charger. Résultat : le lendemain vous risquez de n'avoir votre véhicule que partiellement chargé, et le pompage en force de son énergie à multiples reprises va prématurément user les batteries, que vous devrez faire remplacer à vos frais bien plus tôt que prévu.

    Vivent les CAPTEURS communicants !  Seraient-ils par hasard l'un des facteurs sciemment amenés, pour faire aboutir le monde entier au Grand Chaos ?

    jean-claude

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  • Ce mercredi 22 mars, nous aussi les opposants de Loire-Atlantique (du moins ceux qui ont pu se libérer) , nous nous sommes rassemblés devant la Préfecture de Nantes. 

    Les contacts avec beaucoup de passants ont été fructueux.  Heureusement la pluie nous a laissé le répit nécessaire, et n'a repris que quelques minutes avant l'heure prévue pour notre dispersion.





    Si des personnes ont pris d'autres photos, nous les remercions de nous contacter pour les ajouter aux nôtres.



    Il s'agissait de montrer notre solidarité avec tous ceux qui ont réussi à aller se réunir devant la Maison de la Radio. Ce matin, devant les maires de France, tous les candidats à la présidentielle à jour de leurs parrainages se sont présentés : une bonne occasion pour leur rappeler les dangers multiples des CAPTEURS communicants que des poseurs parfois violents, mais souvent insistants, s'ingénient à installer à la place de compteurs solides. 


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  • Ce témoignage est édifiant. Voici désormais ce que font les poseurs d'Enedis (ou plus exactement de certains sous-traitants)



    Jusqu'où ira l'ignominie ? Le cadenas posé a donc été fracturé sous la surveillance bienveillante de policiers....

    En tout cas, il semble (merci Annie Lobé) que l'assignation par huissier ennuie BEAUCOUP Enedis. Ce n'est donc pas le moment de lâcher.

    Plus que jamais, le 22 mars il faudra faire entendre notre voix.

    JC

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  • Madame Annie Lobé, journaliste scientifique indépendante, assistée de nombreux juristes, a encore affiné la procédure qu'elle propose d'appliquer aux refus de compteurs placés sur des lieux vulnérables.

    Cela comporte bien entendu des cages d'escaliers d'immeubles, où parfois des personnes non souhaitables et/ou non souhaitées réussissent à pénétrer. Cela peut être des quémandeurs, représentants commerciaux, ou autres. Cela peut être aussi des poseurs de capteurs communicants : il est bien connu maintenant que, souvent, ils en sont arrivés à trouver les compteurs, à arracher les injonctions à ne pas poser, puis à photographier "la place nette" en justificatif de leurs actes ; ensuite, sans vergogne, ils posent. Il faut dire que la carotte de la prime en cas de poses conformes en nombre aux prévisions offerte par Enedis (voir l'article sur la vie privée) décuple les ardeurs des poseurs. Ceux-ci, souvent des personnes au statut précaire, n'ont pas toujours le choix.

    En conséquence de toutes les expériences accumulées depuis le début de l'été dernier, expériences parfois très orageuses, Madame Lobé nous propose donc un nouveau "mode d'emploi" un peu plus précis encore, avec une sommation DE NE PAS FAIRE encore plus fouillée et argumentée.

    Nous proposons donc un nouveau fichier ZIP comportant trois documents.

    ¤ le mode d'emploi, remis en forme pour une impression éventuelle facile en recto-verso. Il a été formalisé en pdf. Il donne des liens vers différents autres documents, comme pour ceux qui ont leur compteur à l'intérieur et n'ont donc pas besoin de l'huissier (sauf, et c'est un autre cas encore, si pour accéder au compteur le poseur a commis carrément une violation de propriété avec effraction).

    ¤ la signification DE NE PAS FAIRE de 21 pages, à compléter sur les pages 1 et 21. Compléter (y compris à nouveau l'adresse physique du compteur sur la page 21), mais ne rien modifier d'autre. Ce document est en format doc, utilisable par tous les éditeurs de texte, dont LibreOffice bien sûr.

    ¤ un fichier à imprimer et sécuriser (par mise sous plastique dans une papeterie par exemple), et à apposer sur votre entrée, ou celle de votre immeuble (à l'intérieur, visible de l'extérieur) si tous les occupants sont d'accord. Fichier bien fixé, invitant les poseurs à passer leur chemin, et à ne pas tenter de violer une propriété privée (délit réprimé par la loi). C'est valable aussi par exemple si le compteur est dans votre jardin. 


    Bien entendu, si vous exploitez la procédure de l'exploit d'huissier, n'oubliez pas d'apposer une copie de l'assignation près du compteur, d'introduire une preuve de date (journal du jour), et de photographier le tout de façon lisible. Gardez plusieurs exemplaires de la photo dans plusieurs endroits, y compris chez quelqu'un de confiance, avec encore une copie de l'assignation.




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