• C'est une idée qui est venue, d'un déclic, en vue de clarifier les données, et les inconvénients des compteurs.

    On ne parle pas des avantages : pour vous et moi, il n'y en a tout simplement pas.

    Nous avons même tenté d'y joindre les modules additifs, ceux qui seront ajoutés au compteur Linky. Nous n'en avons pas les caractéristiques précises, mais nous savons comment cela fonctionne forcément. Comme ce serait une émission permanente, le CPL ne sert pas mais de nouveaux concentrateurs devront être installés pour collecter toutes ces données supplémentaires, ainsi qu'un renforcement très important des centres de traitement des données.

     Cela concernerait en particulier les personnes qui acceptent un tarif avantageux, et en contrepartie une surveillance bien plus étroite, et plus émettrice d'ondes : donc les plus vulnérables, en somme. Il faut noter que l'emplacement du module est déjà prévu, avec le branchement adéquat, dans la partie en bas à droite du compteur : on y voit un cache amovible.

    Certaines personnes osent même affirmer qu'à terme, tout le monde se verrait imposer le module, pour que Big Brother sache tout sur tous tout le temps.

    J'avais sorti une première version, à compléter, et diffusé celle-ci de façon restreinte. Madame Annie Lobé a suggéré des améliorations, désormais elles y sont. On pourra ajouter des chiffres, qui pour l'instant manquent. On ne sait ainsi pas grand'chose des compteurs à eau déployés par Veolia  là où cette compagnie est chargée de gérer le réseau de distribution d'eau, mais beaucoup de syndicats restent indépendants - pour le moment. Donc dans un avenir proche, il n'y a pas de couverture globale du territoire pour les données sur l'eau.



    On se sent tout heureux, de voir ces braves Multinationales œuvrer pour notre bien, en nous imposant ces nouveaux appareils comme on impose des vaccins. J'en ai l'alarme à l'œil....

    pour le collectif,

    Jean-Claude



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  • Grâce à Madame Annie Lobé, un nouveau détail est apparu.

    Certes, pour les premiers recours, rien n'est changé. Dans ce dossier ZIP sont incluses des lettres-types à adresser à votre Maire,  à la présidence de votre communauté de communes, et à ENEDIS Pays de Loire. C'est bien entendu adaptable aux autres régions, en changeant les noms et les adresses des interlocuteurs. Ces lettres sont à envoyer avec accusé de réception. Ne pas oublier, c'est préférable, d'aller chercher préalablement des liasses pour accusés de réception. Le numéro de celui-ci sera porté dans la lettre elle-même.
    http://ti1ca.com/49qjaln6-premiere-action-contre-Linky-et-Gaspard-premiere-action-contre-Linky-et-Gaspard.zip.html

    Quand vous recevrez des lettres en retour - et il y en aura sans aucun doute - vous pourrez passer à la phase suivante.  Il s'agira, via un huissier des Hauts de Seine, d'assigner A NE PAS FAIRE le siège d'ENEDIS à Courbevoie. Il est recommandé de s'entendre avec le cabinet au préalable, par exemple avec celui-ci :
    SELARL Griffon-Waret
    26, rue du Docteur Roux BP 83
    92704 COLOMBES CEDEX
    tél : 01 42 42 66 35

    Vous pouvez alors télécharger les lettres suivantes, zippées également, avec le dossier à transmettre :
     http://ti1ca.com/qeqqjlv1-contre-Linky-et-Gaspard-contre-Linky-et-Gaspard.zip.html

    Vous complétez le dossier de vingt pages, sur la première et la dernière page, avec toutes vos coordonnées personnelles et celles du compteur à relever sur une facture, les démarches que vous avez faites avec les dates, les retours par lettres ou verbaux de vos correspondants ENEDIS ou sous-traitants. Ne pas oublier de remettre l'adresse où est sis votre compteur à la dernière page. Ne rien enlever, ne rien modifier d'autre, l'action serait moins efficace.

    Vous signez, paraphez le cas échéant, et vous envoyez en DEUX exemplaires (avec accusé de réception) le dossier à l'huissier, avec  votre lettre d'accompagnement, la photocopie recto-verso de votre pièce d'identité, et un chèque du montant convenu (60 euros chacun si vous êtes plusieurs (au moins dix) en même temps à faire la démarche).

    L'huissier se présentera au siège d'ENEDIS, et en retour il vous renverra le second exemplaire du dossier, sur lequel (c'est un arrangement avec le cabinet Griffon-Waret) il apposera son tampon officiel sur la première et la dernière pages. Cela indiquera qu'il s'agit bien du document transmis à la direction d'ENEDIS.

    Vous en ferez des photocopies, pour l'une elle partira vers votre maire toujours en accusé de réception, et de préférence dans une enveloppe à fenêtre pour qu'il ne puisse pas arguer que l'enveloppe est vide. Vous avez la lettre type d'envoi.

    Un autre exemplaire sera confié, en cas d'incendie, à un proche habitant une autre adresse.

    Un autre encore sera affiché près du compteur.

    Vous garderez l'original précieusement avec une autre copie éventuelle, celle-ci sera brandie si quelqu'un se présente chez vous de la part d'ENEDIS ou des autorités.

    Vous manquez d'arguments ? Nous vous avons préparé un autre ZIP, comportant nos deux principaux tracts, recto-verso, une affichette de taille A5 à déposer près des écoles par exemple dans des lieux d'affichage autorisé (important) , ainsi que notre argumentaire plus étoffé (8 pages).
    http://ti1ca.com/p48t9mwd-argumentaire-contre-Linky-argumentaire-contre-Linky.pdf.html

    Rappel des adresses auxquelles se référer (c'est le verso de notre second tract)








    et nous ne saurons trop remercier Madame Annie Lobé, pour ses très précieux conseils.

    pour le  collectif,
    JC



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  • Nous recevons un appel de Stéphane Lhomme, élu municipal en Gironde à Saint Macaire.

    Une fois de plus la démocratie est traînée dans la boue pour le plus grand plaisir de quelques immenses fortunes leur apportant un pouvoir à la fois léonien, injuste et méprisant.

    -:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-


    Madame, Monsieur,


    En lisant l'article ci-joint, vous pourrez noter que l'Association des maires du Finistère soutient les municipalités qui sont trainées devant les Tribunaux administratifs par Enedis et les Préfets pour avoir délibéré contre le déploiement des compteurs communicants (Linky et cie) et protéger ainsi leurs administrés.

    Extrait :
     







    C'est de toute évidence un excellent exemple à suivre pour les autres Associations départementales de maires, pour l'Association des maires de France (AMF), mais aussi pour les Syndicats départementaux d'énergie et la FNCCR : ces structures devraient en effet soutenir leurs communes adhérentes et non les intérêts des industriels sous couvert d'arguments ridicules et faux comme "Les compteurs Linky sont imposés par l'Europe, on n'y peut rien".

    Nous invitons tous les élus locaux, à commencer bien sûr par les maires, à soutenir leur collègues ainsi attaqués en justice administrative, et à s'adresser aux Syndicats départementaux d'énergie, à l'Association des maires de France, à la FNCCR, etc, pour leur demander de remplir tout simplement une de leurs principales missions : soutenir les maires et les communes.

    Au lieu de prendre fait et cause pour les industriels, ces structures doivent au contraire s'adresser au gouvernement pour lui signifier qu'il faut cesser de vouloir "régler" le problème Linky par la menace et la contrainte, et qu'il est grand temps d'entamer des négociations : les communes qui refusent les compteurs communicants doivent voir leur position respectée. Si nécessaire, la loi doit être modifiée en ce sens.

    Pourquoi refuser aux Français ce que le Québécois ont obtenu, à  savoir le droit de refuser les compteurs communicants et même de faire enlever ceux qui ont déjà été posés ?

    D'ores et déjà, il est important de se mobiliser lorsque les communes passent au Tribunal administratif, comme par exemple Montferrand-du-Périgord : un rassemblement de soutien est organisé au moment de l'audience, lundi 10 octobre à 10h devant le Tribunal administratif de Bordeaux (9 rue Tastet).

    Il est important que de tels rassemblement soient organisés chaque fois qu'une commune est citée à comparaitre. Notons bien qu'il ne s'agit pas de s'en prendre aux juges administratifs qui, saisis, sont bien obligés de statuer. Il s'agit bien de dénoncer les méthodes des dirigeants d'Enedis et des Préfets et en réalité de l'Etat qui est leur donneur d'ordre.

    Cette affaire ne concerne pas que la question des compteurs Linky, c'est la démocratie municipale qui est en jeu : ne nous laissons pas faire !



    Stéphane Lhomme
    Conseiller municipal
    Saint-Macaire (33490)
    http://refus.linky.gazpar.free.fr


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  • Nous recevons ce document, qui peut paraître étonnant. Il faut dire que "les Autorités" ont fini par nous habituer à des contre-vérités flagrantes et vite dénoncées, voire (rarement) avouées.

    Si, réellement, seuls les "volontaires"  autorisent l'accès plus rapproché et plus général à leurs données, le mal peut se transformer en demi-mal. Les impulsions de CPL seront moins fréquentes. Mais...

    Mais aussi, qui acceptera de "vendre" ses données ainsi ? Ce seront les plus vulnérables, ceux à qui en échange les fournisseurs d'électricité feront miroiter des prix plus "intéressants". Cette acceptation induira la pose sur le compteur d'un petit module supplémentaire et payant, qui lui aussi enverra des données et des ondes supplémentaires dans les deux sens. Bien entendu, tout le voisinage en "bénéficiera". Hum...

    Jean-Claude

     

    Communiqué LDH

    Paris, le 7 octobre 2016



    Linky moins bavard que soupçonné ? Enedis devrait mieux communiquer !



    La LDH avait alerté le 19 avril 2016 sur la question de la protection des données personnelles liée aux compteurs communicants Linky dont Enedis (ex-ERDF) a commencé l’installation dans plusieurs régions.

    Suite à ce communiqué, la LDH a reçu une réponse de la Cnil l’assurant que les préconisations élaborées avec ERDF permettraient de respecter effectivement la protection des données personnelles.

    Par ailleurs le responsable Enedis du projet de déploiement a pris contact avec la LDH pour plusieurs entretiens durant lesquels il a souhaité apporter des informations et des garanties sur le respect du protocole élaboré avec la Cnil. Selon lui, les seules données transférées automatiquement et quotidiennement dès lors que Linky est installé, sont les index de la consommation quotidienne du foyer. Pour que des données plus détaillées soient transmises, il est nécessaire que le client ouvre son espace personnel sécurisé sur le site d’Enedis et consente expressément au transfert de données. Le pas de mesure de la consommation d’électricité (la courbe de charge) ne pourra pas être inférieur à trente minutes (la Cnil préconisait dix minutes). Pour recevoir des conseils de fournisseurs d’énergie et de services divers, le client devra en faire la demande d’une part à Enedis et d’autre part à ces fournisseurs.

    Toujours selon Enedis, c’est aussi dans son espace client que le consommateur pourra désactiver le stockage de ses données dans le compteur et supprimer celles qui ont été enregistrées.


    Ces différentes procédures ne nous paraissent pas constituer une infraction au consentement libre et éclairé que la loi (Informatique & libertés) exige pour toute utilisation de données personnelles. La LDH déplore toutefois que l’usage obligatoire d’Internet n’offre pas de solution alternative aux clients qui n’y ont pas accès.

    Reste aussi qu’un sérieux défaut d’information préalable à l’installation entraîne toutes sortes d’inquiétudes et des refus nombreux. Ainsi les installations des compteurs Linky qu’Enedis sous-traite à différents opérateurs en régions peut, en fonction du prestataire, très mal se passer, dès lors que les clients refusent cette installation, avec une utilisation de la force ou de la ruse tout à fait inacceptable. En tant que « donneur d’ordre », la responsabilité d’Enedis est engagée par l’attitude de ses sous-traitants.

    La LDH demande à Enedis une meilleure information préalable des clients, elle veillera à ce qu’un accès soit proposé aux personnes n’ayant pas accès à l’Internet et restera vigilante quant au respect du protocole de protection des données personnelles.

    6 commentaires
  • Sur ces compteurs "connectés", celui donc de l'eau, et celui du gaz, , peu de données filtrent dans les médias. Leur déploiement est pourtant commencé, sans législation y contraignant.

    Il sera très utile de lire à ce propos un document très pointu qui en fait état.

    http://www.santepublique-editions.fr/objects/1cahiers-doleances-citoyens-elus-contre-linky-gazpar-et-cie.pdf

    Certes, il comporte 80 pages. C'est pourtant un cahier de doléances très important, qui a été porté à la vue des "Autorités".

    Nous allons en donner ici quelques extraits, en fonction des besoins.

    POUR LE GAZPAR

    Il est prévu d'en déployer onze millions, c'est moins que pour l'électricité certes, parce que de nombreuses habitations ne sont pas raccordées au gaz naturel. 


     

    Déjà, des cantons un peu partout en France ont vu ou sont en train d'observer des poseurs se présenter aux domiciles, depuis cette année. Ce sont les zones en  jaune. Pour les autres zones, les détails de déploiement ne sont pas encore publiés semble-t-il.

    Ces compteurs envoient leurs renseignements deux fois par jour à un concentrateur, comme le Linky, mais par le biais d'ondes radio. C'est donc une source de pollution électromagnétique supplémentaire, du même ordre que les téléphones portables probablement (on a peu de détails).



    Autre difficulté : par définition même ces appareils fonctionnent en zone ATEX 1 (atmosphère potentiellement explosible). C'est si vrai que le compteur-émetteur est considéré comme hermétique, et alimenté non par une arrivée de courant externe, mais par une pile intérieure de longue durée de vie. En cas de choc ou autre, le risque est toujours là même s'il est minimisé.

    Citation du cahier de doléance :

    Nous refusons le déploiement du compteur communicant de gaz  Gazpar, car le Gazpar est une zone ATEX (à risque d'explosion), comme le prouve la nécessité de piles et d’un boîtier « certifiés ATEX » :


    http://fr.slideshare.net/CNRFID/compteurs-communicants-gaz-gazpar


    « 4. LE PRODUIT NFC Technologies sans contact AUTONOME Pile / 20 ans ATEX Conception électronique certifiée pour fonctionner en environnement explosif »


    http://www.scoop.it/t/gazpar/?tag=economie+d%27energie

    « boitier Pegaz (certifié ATEX) »

    Ce déploiement s'accompagnera d'une réduction d'effectifs, dénoncée également, puisque source de risques elle aussi (vérifications bien moins fréquentes que quand des personnes physiques se déplacent pour relever) 



    POUR L'EAU


    Sans que rien n'y pousse officiellement, VEOLIA en particulier a commencé à installer des excroissances servant à télérelever, en direction de ses réémetteurs (ceux qui sont sur les châteaux d'eau dont elle a la charge en particulier) : ces émetteurs sont plus importants en valeur de rayonnement parce qu'il y en a moins.




    On observe que des personnes ont déjà sonné l'alarme, parce qu'elles ne supportaient déjà plus ces rayonnements, même si leur propre logement a vu un compteur ancien remis rapidement. Cela implique tout simplement que des zones sont devenues "impropres au logement" pour certaines personnes, dont il est à craindre que leur nombre n'augmente avec le nombre de plus en plus important d'émetteurs de rayonnements divers. L'effet de seuil fonctionne à plein.


    Voir ici à nouveau un simple extrait d'un exposé bien plus long dans les cahiers de doléances.


    PROBLEME POSE PAR LES COMPTEURS INDIVIDUELS D’EAU FROIDE ET D’EAU CHAUDE A TELERELEVE QUI SONT DES DISPOSITI FS EMETTEURS DE MICRO-ONDES OFFICIELLEMENT RECONNUES « POTENTIELLEMENT CANCERIGENES » (voir p. 31 des présents Cahiers)

    -  Nous demandons l’interdiction du déploiement, qui n’a été instauré par aucune loi, des compteurs communicants individuels d’eau froide.

    -  Nous demandons l’abrogation des articles 26 et 27 de la loi de transition énergétique instaurant le déploiement des compteurs communicants individuels d’eau chaude dans les immeubles pourvus d’une installation de chauffage collectif.

    En effet, il n’est pas exclu que les jurisprudences « amiante » de la « faute inexcusable » et de la « carence fautive dans la prévention des risques » soient un jour étendues aux cancers causés par les radiofréquences et les micro-ondes émises par les compteurs communicants d’eau froide et d’eau chaude, ce risque ayant été officiellement reconnu par le Centre international de recherche sur le cancer depuis le 31 mai 2011, ainsi que cela a été exposé p. 31 des présents Cahiers de doléances.

    Les compteurs individuels de l’ancienne génération n’émettent aucune radiofréquence ni micro-onde. Dès lors, leur remplacement par des compteurs individuels d’eau froide et d’eau chaude émetteurs de micro-ondes / radiofréquences induit un risque nouveau supplémentaire, pour lequel la responsabilité des donneurs d’ordre (société des eaux et communes) et celle de l’Etat pourra être ultérieurement mise en cause, comme cela a été le cas pour l’amiante.

    Rappel de la jurisprudence « amiante » : "Faute inexcusable" de l'employeur qui "aurait dû avoir conscience du danger" et de "l'état des connaissances scientifiques et techniques au cours de la période pendant laquelle le salarié a été exposé au danger de maladies professionnelles" :

    https://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriJudi.do?id

    Restons très vigilants, ne lâchons rien, car il s'agit de notre santé, et plus encore de celle de nos enfants à la fois "moins endurcis", et qui subiront des ondes diverses pendant des durées bien plus longues.












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