• Bonjour ! N'oublions pas que tout cet enchevêtrement de contraintes numériques, sociales, de santé que l'on nous IMPOSE est suspendu à un facteur inéluctable : sans électricité, ouf ! plus rien. La dématérialisation n'a jamais été autant tributaire du .... matériel !

    —  matérielle l'extraction de minerais rares, et même pour certains de plus en plus rares ! Ces extractions se font la plupart du temps dangereusement, dans des endroits très difficiles où opèrent aussi des enfants. Un ami universitaire, qui les a rencontrés, est en train de préparer un ouvrage qui devrait être un coup de tonnerre. Cette extraction a besoin en plus d'énergie, et de beaucoup, beaucoup d'eau, qui après usage est souvent un poison pour le vivant. Puis vient la phase traitement, effectuée le plus souvent en Chine, avec là encore l'apport de beaucoup d'eau, et la création de nuisances terribles. Oui, c'est matériel !

    — matérielles, les fermes d'ordinateurs parfois immenses, “data centers” dans la langue de l'envahisseur, qui elles aussi mobilisent de colossales ressources, souvent de l'eau en quantité pour les refroidir, sans compter l'énergie pour non les "mouvoir", mais pour les faire fonctionner

    — matérielles les centrales de production électrique, elles aussi souvent gourmandes en eau qu'elles se contentent de réchauffer (tiens, où est la modération thermique, là-dedans ? j'ai dû mal comprendre...)

    master world

    —   matérielles les recharges de tous ces appareils dits  “mobiles” (et je ne parle même pas des voitures électriques, bardées de surcroît de capteurs divers, avec un bel ordinateur central pour coordonner le tout, même le conducteur s'il y en a un)

    —  matérielles les décharges où se retrouvent bien vite tous ces appareils à la vie brève, dont la récupération est anecdotique.

    —  matériel le bilan sanitaire des utilisateurs de tous âges, sanctionné par un ouvrage terrible d'un ami cité déjà plus haut.

    sobriété énergétique

    © René Bouschet (image proposée par l'association Résistance 5G Nantes)

     

    Qu'est-ce qui n'est pas matériel ? Le résultat sur la société en général, où les liens se perdent, ou “la distanciation” fait des ravages sous des prétextes divers. Notre monde est dans un état lamentable. Le Net n'en est qu'un des aspects, mais ceux-ci sont très nombreux, et il faut, IL FAUT tenir compte de tous ceux-ci, tant chacun fait mal. Récemment DEUX amis EHS ont mis fin à leurs jours, tant l'environnement leur était devenu INSUPPORTABLE.

    C'est pourquoi nous nous battons, en n'oubliant jamais d'avoir, comme le dit un autre ami EHS également, “la vision  de la mouche”, pour tenir compte de tout.

    Fraternellement militant


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  • C'était un ami. Un ami un peu brouillon, provocateur, qui agissait quitte à avoir des ennuis avec la Justice. Sa spécialité : arrêter les concentrateurs du Linky. Gravement électrohyper-sensible, cette façon de procéder le protégeait : quand le concentrateur ne fonctionne pas, les Linky non sollicités se taisent, le courant n'est plus qu'alternatif, et non secoué de pics très proches et abondamment fournis en sur-oscillations de fréquences plus de mille fois plus élevées, mal supportées par les êtres vivants. Malgré tout, un jour il a lâché prise.

    Le Linky a fait une nouvelle victime

     

     

    A Nantes, nous n'approuvions pas sa façon d'agir, et préférions tenter de résoudre les ennuis des EHS grâce au dialogue et à la concertation. Pourtant, parmi les personnes qui nous sollicitaient pour des conseils ou des aides à réclamer des solutions à leurs détresses, certains étaient atteints, parfois violemment. C'est au point qu'une amie s'est plus discrètement supprimée parce qu'elle n'en pouvait plus. C'est au point qu'une autre ne parle que de suicide. C'est au point que d'autres, assez nombreux, ont cherché la solution dans les zones dites "blanches", alors que des techniciens sans âme s'ingénient à les résorber à grands renforts d'antennes. Ces gens-là souffrent, parfois terriblement quand pour se ravitailler il leur faut se déplacer dans des zones qui pour eux sont à risque.

    Ne nous y trompons pas. TOUT le monde est électrosensible, à des degrés divers. On ne s'aperçoit de cet état que lorsqu'un "effet de seuil" déclenche des symptômes divers. La plupart du temps, revenir dans des lieux moins "excitants" ramènent ces symptômes en-dessous du sensible. En raison de ce phénomène qu'on appelle l'exposome (somme de TOUTES les influences de toutes sortes subies dans une vie), les plus jeunes seront à l'avenir plus sujets à ces inconvénients, parce qu'ils auront subi pendant plus longtemps ces agressions, qui s'empilent, s'empilent jusqu'à l'intolérable. Actuellement la proportion de la population qui en ressent plus ou moins les effets est évaluée, selon les lieux, de 5% à 12%.  Cela pourrait très certainement augmenter à l'avenir.

    Dès à présent, les décideurs doivent, oui, DOIVENT se préoccuper de ce fort handicap, que les technophiles font tout pour minimiser. De nombreux scientifiques, médecins, parmi les plus renommés, tirent la sonnette d'alarme, avec des résultats assez faibles vu les politiques de collectes monstrueuses de données que l'on constate. Un jour cependant, quand trop de personnes seront impliquées, il faudra bien s'en occuper : pourvu alors qu'il ne soit pas trop tard !

    Très conscient de ces syndromes qui ne pourront que devenir plus fréquents, le collectif nantais plus précisément penché sur cette branche des effets des ondes électromagnétiques, va devoir ouvrir spécialement une "filiale" s'occupant en priorité des hyper-électro-sensibles, en prévision d'une augmentation des cas de plus en plus graves.

     

    On pouvait penser, maintenant que l'organisme devenu privé (ENEDIS) qui s'occupe des moyennes et basses tensions a, selon ses dires, terminé le déploiement des capteurs Linky, ce collectif (de même que des centaines d'autres qui maillent de façon serrée le territoire métropolitain) pourrait entrer dans une sorte d'obsolescence : rien n'est moins vrai ! mais les interventions prendront sans doute d'autres formes. Plus juridiques probablement. L'EHS concerne à la fois le Linky et son monde (concentrateurs, antennes de collecte générale), et aussi les antennes de toutes sortes concernant les téléphones mobiles, mais aussi tout ce qui concerne l'Internet des Objets (capteurs extrêmement divers). L'électromagnétisme est un tout.

     

    Ajoutons que ne sont pas encore entrés en lice les modules ERL (ils peuvent avoir changé de sigle depuis, pour brouiller les pistes) qui, selon les prévisions d'ENEDIS, commenceront à être installés DANS les Linky à partir du moment où la couverture sera suffisante. Donc, dès un futur très proche. Selon ce qui avait été prévu il y a 5 ou 6 ans, pour les "clients" ordinaires cela serait payant sur la base du volontariat ; en revanche "les cas sociaux" avec des tarifs adaptés (hum, les conditions ont bien changé, non ?) se verraient IMPOSÉS ces modules, capables de piloter les appareils du logement. Selon des informations sûres, mais confidentielles, c'est depuis le début des années 2010 que TOUS les appareils nouveaux sont équipés de puces capables de réagir aux modules ERL des brosses à dents aux stores commandés à distance, aux réfrigérateurs, et j'en passe.

     

    Nos si nombreux collectifs vont donc continuer à avoir du pain sur la planche pour expliquer, pour orienter, pour collectivement se constituer en moyens de sauvegarde des citoyens, quitte peut-être à constituer des associations spécifiques, personnes morales capables en leur nom d'ester auprès des tribunaux afin de défendre ces citoyens.

     

    JC


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  • Une amie hélas affligée du Linky se voit proposer de couper le soir (par exemple) l'arrivée du courant hélas perturbé par les trames pulsées du CPL, mais aussi par ce qu'on appelle « le courant sale »,  causé par les démarrages de gros consommateurs de courant (car les démarrages sont de très gros perturbateurs, ceux de frigos, de moteurs de grande puissance, même de lampes à variateur de puissance).

    Il lui est proposé un simple interrupteur, PHASE ET NEUTRE (c'est important), qui bloque tout transfert entre le Linky, et par-delà celui-ci, le système commandé par le concentrateur du secteur.

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  • A la suite d'une discussion avec Patrice Goyaud, on a convenu que les filtres, même les meilleurs (qui ne sont pas les plus chers), ne sont pas parfaits. Pour qui veut en mettre compte tenu de cette mise en garde, il semble que le plus efficace soit le modèle Panda de chez Polier : pour un résultat optimum en commander trois, placer le premier au plus près du CAPTEUR (directement dans le tableau de distribution s'il comporte une prise), puis à différents endroits du logement, par exemple un au plus loin du même capteur.

    Comment le déterminer ? Pour ma part, toujours sur les mêmes conseils, j'ai acquis un Microsurge Meter de Stetzerizer, modèle GS-M300-A. Pour les prix ? compter environ 400 euros pour le tout (y compris le testeur). Les prix ont bien baissé, sans doute la demande a-t-elle permis des économies d'échelle. Le capteur n'indiquera jamais zéro, mais si on obtient 42 sur le petit écran, c'est pas mal. En l'absence de filtres, les indications de crête peuvent monter à plus de mille ! Il faut se souvenir que souvent, on reçoit de l'électricité "sale", en raison de perturbations diverses (démarrages de gros moteurs et autres) en plus du CPL.

    Ceci dit, si par hasard (!) Enedis en installait, pas sûr qu'il utilise ces références !

    Ah ! Un détail qui a son importance : sur les prises qui repartent des filtres, ne brancher que de petits instruments qui ne causent pas une surtension au démarrage, donc pas de moteurs (plutôt une lampe ordinaire, par exemple, pas avec "starter" ou à éclairage variable). C'est pourquoi la prise qui repart n'est pas une "avec terre" type français mais allemand. J'ai posé la question directement à Monsieur Polier, le fabricant.


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  • Pour ma part je commencerai à envoyer les relevés de compteur le 30 juin, anniversaire de mon entrée dans cet appartement, donc de l'état des lieux. Deux lettres avec accusé de réception : une au fournisseur, une copie signalée comme telle au gestionnaire de réseau. Et on n'en parle plus !

     

    Où l'on parle de relevé de compteurs, une fois pour toutes


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