• Les compteurs connectés ? Quelle joie ! Merci à madame Commission, l'européenne autoproclamée qui ne nous veut que du bien. C'est d'elle que viennent directives et obligations, sous la poussée du Conseil européen formé des ministres concernés appartenant aux vingt-huit gouvernements "connectés".

    Certes, le principe de précaution est largement mis en avant, bien que l'un des candidats français à la relève de mai prochain (celui qui, selon les prescripteurs, aurait le plus de chances) nous "promette" de ne plus en tenir compte parce que cela gêne les industriels. On les comprend, les normes, cela leur coûte cher. 

    En revanche, ces mêmes industriels veulent tout savoir de nous, d'où l'idée de ces compteurs, d'électricité, de gaz, d'eau froide, d'eau chaude pour ceux qui en bénéficient : ainsi toute "consommation" se voit, s'enregistre, se mesure. Des malins affirment même être en mesure, au vu de la courbe de charge de votre compteur électrique, celle que recevra EDF (et les autres fournisseurs d'électricité, voire quelques hackers farfelus ou pervers), de déterminer si vous avez allumé votre télévision, et même, plus pointu encore, quelle chaîne vous avez visionnée. Ou encore si vous avez eu une petite faim ou autre chose la nuit.

    Bien entendu, ces compteurs nous font abondamment "bénéficier" de leurs envois de données, sous formes d'ondes diverses, variées, tous les jours et le plus souvent possible dans la journée.  Pour l'eau ce sera en permanence "pour détecter les fuites", cela permettra aussi de savoir si votre lave-linge a été mis en route à deux heures du matin, ou si un aliment avarié vous a causé des séjours répétés sur le Trône de Fer. N'est-ce pas un peu insidieux ?

    Donc des ondes, plus des ondes, plus encore des ondes, surtout quand les modules ERL seront ajoutés aux compteurs Linky pour en décupler les possibilités de contrôle, et de manœuvre des appareils du logement. Pour rappel, le CPL du Linky va voyager chez vous, et via le réseau chez vos voisins (il n'y a pas de filtre pour l'éviter, dans les compteurs). Cela créera peut-être même de jolies interférences avec des harmoniques très supérieures en fréquence et en intensité au 75 KHz initial (déjà dangereux par ses pulsations même si le niveau paraît faible).




    Ce sera tous les jours, pendant des années, des dizaines d'années : dur pour les plus jeunes, qui auront vécu avec cela en permanence, en plus de tout le reste. Si des cancers, des leucémies, ou d'autres syndromes comme la démence précoce, l'épilepsie, surviennent, ce sera dans des années, et pratiquement improuvable. On peut le constater déjà pour l'amiante, ce sera plus difficile encore.

    Nous avons regroupé dans un fichier ZIP un certain nombre d'articles divers, donnant des explications, ou des commentaires sur le lien entre ces compteurs et les ondes EM en général, et notre santé.


    Bonne lecture !

    Jean-Claude

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  • Ce vendredi 9 décembre 2016, à la salle de la Grande Ouche à Bouguenais (44340), les citoyens étaient invités à venir débattre à propos du compteur Linky, de son compère Gazpar et du petit frère à l'eau. Six membres du collectif s'y étaient rendus.

    Comme récemment à Saint Sébastien, il a fallu ajouter des chaises, car plus de soixante-dix personnes s'étaient déplacées. Des personnes de tous âges. Les questions ont longuement fusé. Le meneur de débat fut très efficace à donner la parole malgré les nombreuses mains levées.

    Le consensus fut très fort à dénoncer les nuisances déjà constatées, seul un jeune homme, tout aussi critique sur le reste, a contesté les nuisances du CPL probablement parce que celui qu'utilise le Linky est bien plus envahissant que les CPL utilisés par la domotique et ceux qui déclenchent les heures creuses ou pleines des ballons d'eau chaude. On n'a pas pu exactement déterminer ces différences d'interprétation, vu le nombre d'interventions.

    La réunion avait été programmée pour un bon jour : on venait d'apprendre qu'un tribunal a donné raison à un électro-hypersensible, au point d'ordonner la repose d'un ancien compteur, et d'interdire dans les voisinages d'autres compteurs connectés. Souhaitons que ce jugement fasse jurisprudence. Une autre nouvelle faisait état d'une effraction caractérisée, une porte de maison forcée par le poseur. Même s'il a tenté de calmer le jeu, ENEDIS n'en sort pas grandi.

    Une pétition a été lancée à l'issue des débats. Souhaitons-lui une bonne efficacité face à l'attitude rigide de Nantes-Métropole. Nous rappelons que monsieur Monloubou, le PDG d'ENEDIS, a bien précisé devant une commission parlementaire que oui, on peut refuser le compteur. Ce qui démonte les tentatives d'intimidation, voire les menaces de certains poseur zélés.





    Merci aux autres participants qui le désirent de donner en commentaire leur version de la réunion. Il suffit de signer de son prénom le texte envoyé sous forme anonyme.

    Jean-Claude

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  • Nous avons reçu cet avis, et bien sûr nous encourageons tous ceux qui le peuvent à y aller, vendredi soir à Bouguenais (44340).





    Nous sommes déjà plusieurs qui allons nous y rendre. Le but est de créer un vrai débat avec beaucoup de questions "inhabituelles".

    A vendredi !



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  • La véritable action contre les nouveaux compteurs d'électricité communicants Linky est maintenant sur le terrain, parallèlement au « terrain juridique » qui se fait jour. L'opposition grandit à mesure que les compteurs sont installés à un rythme effréné : une course contre la montre est désormais engagée...


    La bataille fait rage contre les compteurs Linky et nombreux sont les incidents qui émaillent leur déploiement depuis maintenant dix mois. En effet, chaque maire, voire chaque institution, a pour consigne de s'effacer devant ce déploiement à marches forcées et de laisser les Français se débrouiller sur le terrain.

    Combien de temps encore les maires – derniers remparts sur le terrain – resteront-ils sourds au profond mécontentement de leurs administrés ? Comment accepter encore la pose, beaucoup plus silencieuse celle-ci, des compteurs d'eau communicants avec des micro-antennes de 800 MHz posées tous les trois lampadaires par Véolia ?


    Incidents : on ne les compte plus.

    Les nombreuses associations et collectifs qui comptent en leur sein une personne dédiée à la veille Internet, qui « arrose » d'informations les réseaux, sauront vous le dire, s'indignant sans se lasser.

    Pour ne parler que de ce qui est sûr et vérifié, il y a l'île de Ré où il est relayé dans la presse locale le cas de cet habitant blessé par des poseurs excédés, eux aussi, par toutes ces multiples formes de résistance.

    Ces habitants de Gaillac, dans le Tarn, qui confisquent les outils des poseurs, voire crèvent les pneus des camionnettes, ce qui amène Enedi (ex-ErDF) à « préconiser » l'enlèvement du marquage « Partenaires Linky » sur celles-ci.

    Mais Enedis pourra vous dire qu'aucun ordre dans ce sens n'a été donné, ce qui est certainement vrai puisqu'il ne s'agit que d'une « préconisation », nuance.

    C'est également dans la nuance que fait Enedis sur le terrain quand elle préconise encore de poser le compteur en l'absence des habitants pour les compteurs accessibles. « Nous n'insistons pas si vous refusez », dit-elle encore par la voix des poseurs sous-traitants. C'est également dans la nuance quand les plateformes téléphoniques vous indiquent – pour les compteurs intérieurs surtout – que vous risquez des sanctions financières en cas de refus, alors que rien n'est prévu ni dans les textes, ni dans les tarifs d'Enedis.

    Qu'est-ce qui autorise Enedis à agir en sous-main, laissant les sous-traitants en première ligne ? Certainement la surprise de la contestation qu'elle n'a pas appréhendée.

    Ainsi, plus aucun intervenant Enedis ne paraît en réunion publique et la communication sur Linky n'est axée que vers les maires et leurs conseillers municipaux. La rupture avec les usagers est consommée, le dialogue impossible, et c'est pourtant l'origine du problème : qui connaît le Linky ?


    Un laisser-passer qui renforce le nombre des opposants

    En choisissant de ne communiquer physiquement qu'avec les maires, Enedis annonce son mépris mais aussi sa peur de la contestation sur le terrain. Et la contestation n'en sort que plus renforcée :

    — Pour les quelques maires qui s'engagent par conviction à demander au moins un moratoire afin d'y voir plus clair. Ces maires-là doivent ressentir le mépris d'Enedis pour leur fonction. En effet les présentations sur écran orientées uniquement sur les avantages de ce compteur, mais aussi les invitations au meilleur restaurant de la ville, ont dû éveiller leur sens de la démocratie ici bafouée.

    — Pour les habitants des villes et villages où agissent d'abord des personnes se regroupant souvent en simples collectifs, puis les habitants isolés sidérés de recevoir une lettre de changement de compteur quelques jours avant alors qu'ils n'en ont jamais rien su.


    Après la panique, la résignation, quand les poseurs arrivent. La boucle est finalement bouclée et le maire n'a plus qu'à attendre que le calme revienne...


    Les opposants sur le terrain

    Qui sont ces gens ? De gauche comme de droite avec une légère majorité de femmes. D'abord des plus de 50 ans qui ont connu une vie moins sophistiquée, puis très rapidement des couples avec enfants, des moins de 30 ans, plus intéressés par le concept de l'union de personnes si différentes que par la contestation elle-même mais reprenant à leur compte le vieux diction « il n'y a pas de fumée sans feu ».

    Ainsi toutes les strates de la société y sont représentées, et c'est ce qui étonne les pro-Linky, lors des nombreuses réunions à travers la France, qui croyaient n'y croiser que des jeunes et vieux « babas cool gauchisants ».

    Placés au pied du mur, les opposants s'organisent de plus en plus pour ne pas avoir à vivre dans la peur de l'attente. On voit alors apparaître des professions dites intermédiaires comme des professions libérales, des professionnels de la santé, des artisans et des commerçants, qui augmentent alors le niveau d'implication dans l'organisation avec des retraités tous disposés depuis le début à aider.

    Et c'est alors l'effet inverse de celui recherché qui va se produire au fur et à mesure des poses de compteurs : une élévation du niveau de l'opposition et, puisque l'on touche à la démocratie, une orientation juridique du débat. Mais avant tout, et conséquence directe d'une meilleure organisation, un nombre suffisamment élevé d'opposants dans chaque ville et village pour donner au moins matière à réflexion à chacun de leurs maires.


    Dernier rempart, les maires ont un rôle à jouer

    La politique d'Enedis visant à ne communiquer que « par omission » auprès du grand public, couplée au travail de l'ensemble des pro-Linky, pourrait mener à une opposition sans cesse renforcée par le rythme effréné des poses de compteurs.

    Toutes les parties s'obligent ainsi à une sorte de course contre la montre, qui pourrait dégénérer et mettre en cause le manque de clarté d'Enedis. Les maires, dernier rempart, ont un rôle d'arbitre à jouer.


    Les autres compteurs communicants

    Il existe trois autres types de compteurs dits « communicants » :

    – les compteurs de gaz Gazpar, dont les opposants au Linky surveillent l'arrivée ;

    – les compteurs d'eau avec télérelève en pied d'immeuble, qui préservent l'emploi et la santé (ils n'émettent qu'à la demande du téléreleveur) et qui sont aujourd'hui installés dans le Tarne à Lescure d'Albigeois et à Albi ;

    – les compteurs d'eau à télérelève à distance (par ondes hertziennes), installés dans le Tarn à Terssace et Saliès par exemple, dont le déploiement dans les communes n'est pas annoncé et, parfois même, dans le cas d'une gestion privatisée de l'eau, est ignoré du maire qui ne l'apprend qu'une fois la pose commencée ; il est alors indispensable de refuser cette pose « sauvage », ce qui est d'autant plus facile que les compteurs d'eau sont installés à l'intérieur des propriétés.


    Pour les compteurs d'eau comme de gaz, les opposants, pour la plupart, n'en sont qu'à l'analyse technique mais doivent se mobiliser en urgence car le déploiement est déjà antérieur à celui du Linky. Qui le sait ?



    L'AUTEUR

    Marc Langlois

    Initiateur de l'association CMGA, Collectif à Mouline le Gô Association, du nom du quartier d'Albi où il habite, qui a pour but de réunir des opposants au Linky d'Albi et des communes de son agglomération par une information en-dehors des partis politiques et par la non-violence et le dialogue.


    Contact

    Pierre Galloy

    Tél. : 06.63.73.30.68

    Site : http://pas-de-linky-ici.fr




    Vu sur Biocontact de décembre 2016 - N° 274

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  • Linky et nucléaire

    par Stéphane Lhomme
    mercredi 23 novembre 2016

    De la cohérence de se battre à la fois contre le Linky...et contre le nucléaire !

    Autant le dire tout de suite, la problématique du compteur électrique communicant Linky ne relève pas précisément de la lutte anti-nucléaire. Cependant, il existe entre les deux sujets des points communs et des similitudes qui font qu’il est parfaitement logique et cohérent pour les antinucléaires de se mobiliser contre le déploiement de ces compteurs, sans oublier les compteurs communicants de gaz (appelés Gazpar) et d’eau.

    Avant tout, il convient de tordre le cou à des prétextes avancés par les industriels pour « justifier » les compteurs communicants, prétextes qui abusent d’ailleurs certains écologistes : les compteurs communicants permettraient de « faire des économies d’énergie » et « aideraient au développement des énergies renouvelables » : voilà bien de quoi appâter un antinucléaire !

    En réalité, le système des compteurs communicants va être lui-même consommateur d’une quantité non négligeable d’énergie : il ne s’agit pas seulement des compteurs mais d’innombrables appareils déployés dans les communes pour capter les informations collectées par les compteurs, les transporter, les concentrer, les réexpédier par téléphonie mobile, etc.

    Par ailleurs, comme l’ont montré des études menées dans des pays où ils ont déjà été déployés, par exemple une étude australienne mentionnée par l’Ademe, les compteurs communicants n’entrainent pas d’économie d’énergie : une diminution de la consommation d’environ 10% est certes notée dans les deux premiers mois, mais elle se réduit à 5% deux mois plus tard puis à 0% au bout de six mois : ce sont en réalité les usagers qui, placés en situation expérimentale, ont modifié leur comportement (ils ont « fait attention » à leur consommation), avant que la vie ne reprenne peu à peu son cours normal.

    Les économies d’énergies peuvent être obtenues de façon pérenne par la formation et l’information des citoyens, mais certainement pas par le recours aux compteurs communicants. Notons d’ailleurs que ceux-ci sont installés en France par la société Enedis (ex-ErDF), filiale à 100% d’EDF… dont le financement provient principalement de nos factures d’électricité : il faudrait être bien naïf pour croire que les dirigeants d’EDF, qui nous mentent et nous spolient depuis des décennies, se seraient subitement décidés à nous faire faire des économies… et donc à réduire leurs revenus !

    Autre prétexte avancé : les compteurs communicants seraient utiles, voire même « indispensables », pour intégrer les énergies renouvelables dans le système électrique français. Qu’il faille moderniser le réseau électrique, c’est possible, mais en quoi est-il nécessaire, pour intégrer des parcs éoliens ou solaires, d’installer des compteurs communicants dans nos logements ? D’ailleurs, un contre-exemple parfait existe : l’Allemagne, qui développe les énergies renouvelables immensément plus que la France, a renoncé à la généralisation des compteurs communicants : seuls les gros consommateurs (usines, entreprises, etc) en seront doté, et la quasi-totalité des logements en seront dispensés, CQFD.

    Venons-en maintenant à la gestion des pics de consommation d’électricité qui, depuis des décennies mais de façon plus criante au fil du temps, mettent à mal le système électrique français en particulier en hiver : dès qu’il fait froid, et en particulier en début de soirée (18h/20h), des millions de chauffages électriques sont allumés et entrainent une consommation dépassant largement les capacités du parc nucléaire, pourtant surdimensionné. La France importe alors d’immenses quantités d’électricité, en particulier depuis l’Allemagne : il est de bon ton de dénoncer les centrales électriques au charbon de ce pays, mais le fait est que ce sont elles qui chauffent la France tous les hivers.

    Les compteurs communicants n’ont pas été imaginés spécialement pour aider l’industrie nucléaire à passer ces délicats pics de consommation, d’ailleurs de tels compteurs sont installés dans des pays non nucléarisés comme l’Italie. Toutefois, en France, il est avéré que le clan EDF (EDF SA, RTE, Enedis) attend avec impatience la mise en service des compteurs Linky pour réduire les pics en question : dans un premier temps sur la base du volontariat, les habitants pourront se signaler pour que, par le biais des compteurs Linky, les opérateurs prennent la main sur la consommation en déconnectant certains appareils. Nul besoin d’être devin pour comprendre que, par la suite, chaque logement doté d’un compteur Linky pourra être soumis de force à cette prise de pouvoir.
    Par ailleurs, les industriels de l’électricité et de l’automobile (bien aidés par les dirigeants politiques qui leur sont en majorité soumis) entendent relancer leurs activités (en berne) en imposant la mise en place de millions de voitures électriques. Mais ce projet absurde (*) risque lui aussi de se heurter au problème des pics de consommation hivernaux car, en majorité, les automobilistes mettraient leurs batteries à recharger le soir en rentrant du travail, exactement au moment où démarrent les chauffages électriques.

    Les compteurs Linky vont permettre aux industriels de repousser ces recharges à plus tard dans la nuit... quitte à ce que votre batterie soit incomplètement chargée le lendemain matin ! Mieux (ou plutôt pire), avant d’être rechargées, les batteries serviront de réserves d’électricité : par l’intermédiaire des Linky, le réseau électrique puisera l’électricité restante dans les batteries des voitures électriques avant de (peut-être) les recharger. Etre doté d’un compteur Linky, qui plus est d’une voiture électrique, reviendra donc à donner un coup de pouce au lobby nucléaire.

    L’objet du présent article n’est pas d’expliciter toutes les bonnes raisons de refuser les compteurs communicants, que l’on peut toutefois rappeler sommairement :
    - — désastre environnemental et financier : se débarrasser de 81 millions (35 d’électricité, 35 d’eau, 11 de gaz) de compteurs ordinaires en parfait état de marche pour les remplacer, à grands coups de milliards (nos milliards !) par des compteurs d’une durée de vie beaucoup plus courte et qu’il faudra donc remplacer à nouveau quelques années plus tard, etc
    - — captations d’innombrables informations sur nos vies : les compteurs communicants sont de véritables bigs brothers qui vont être installés dans nos logements et vont épier nos comportements, à commencer par la présence ou l’absence d’habitants (toutes les 10 minutes, voire de façon encore plus précise).
    - — mise en danger de notre santé : des ondes électromagnétiques nocives sont émises par les compteurs communicants, mais aussi par les nombreux appareils qui vont être installés dans les rues de nos communes.

    En conclusion, il n’est certes pas nécessaire d’être opposé à l’atome pour refuser les compteurs communicants mais il serait très incohérent de la part d’un antinucléaire (et de façon générale d’un écologiste) de ne pas s’engager contre l’installation des Linky, Gazpar et cie…

    Stéphane Lhomme
    Article rédigé pour Atomes crochus, la revue d’ "Arrêt du nucléaire" ( http://coordination-adn.fr )

    (*) La voiture électrique est une calamité environnementale au même titre que la voiture thermique. Par exemple, la seule fabrication des batteries émet en co2 l’équivalent de l’usage d’une voiture à essence pendant… 10 à 15 ans ( !). Ces batteries sont aussi bourrées de lithium et de graphite dont l’exploitation a des conséquences environnementales et sociales dramatiques (mais il est vrai que cela se passe à des milliers de kilomètres de l’urbain occidental qui se donne bonne conscience en roulant électrique…). Cf http://www.observatoire-du-nucleair...


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