• Ce mercredi 22 mars, nous aussi les opposants de Loire-Atlantique (du moins ceux qui ont pu se libérer) , nous nous sommes rassemblés devant la Préfecture de Nantes. 

    Les contacts avec beaucoup de passants ont été fructueux.  Heureusement la pluie nous a laissé le répit nécessaire, et n'a repris que quelques minutes avant l'heure prévue pour notre dispersion.





    Si des personnes ont pris d'autres photos, nous les remercions de nous contacter pour les ajouter aux nôtres.



    Il s'agissait de montrer notre solidarité avec tous ceux qui ont réussi à aller se réunir devant la Maison de la Radio. Ce matin, devant les maires de France, tous les candidats à la présidentielle à jour de leurs parrainages se sont présentés : une bonne occasion pour leur rappeler les dangers multiples des CAPTEURS communicants que des poseurs parfois violents, mais souvent insistants, s'ingénient à installer à la place de compteurs solides. 


    votre commentaire
  • Ce témoignage est édifiant. Voici désormais ce que font les poseurs d'Enedis (ou plus exactement de certains sous-traitants)



    Jusqu'où ira l'ignominie ? Le cadenas posé a donc été fracturé sous la surveillance bienveillante de policiers....

    En tout cas, il semble (merci Annie Lobé) que l'assignation par huissier ennuie BEAUCOUP Enedis. Ce n'est donc pas le moment de lâcher.

    Plus que jamais, le 22 mars il faudra faire entendre notre voix.

    JC

    votre commentaire
  • Madame Annie Lobé, journaliste scientifique indépendante, assistée de nombreux juristes, a encore affiné la procédure qu'elle propose d'appliquer aux refus de compteurs placés sur des lieux vulnérables.

    Cela comporte bien entendu des cages d'escaliers d'immeubles, où parfois des personnes non souhaitables et/ou non souhaitées réussissent à pénétrer. Cela peut être des quémandeurs, représentants commerciaux, ou autres. Cela peut être aussi des poseurs de capteurs communicants : il est bien connu maintenant que, souvent, ils en sont arrivés à trouver les compteurs, à arracher les injonctions à ne pas poser, puis à photographier "la place nette" en justificatif de leurs actes ; ensuite, sans vergogne, ils posent. Il faut dire que la carotte de la prime en cas de poses conformes en nombre aux prévisions offerte par Enedis (voir l'article sur la vie privée) décuple les ardeurs des poseurs. Ceux-ci, souvent des personnes au statut précaire, n'ont pas toujours le choix.

    En conséquence de toutes les expériences accumulées depuis le début de l'été dernier, expériences parfois très orageuses, Madame Lobé nous propose donc un nouveau "mode d'emploi" un peu plus précis encore, avec une sommation DE NE PAS FAIRE encore plus fouillée et argumentée.

    Nous proposons donc un nouveau fichier ZIP comportant trois documents.

    ¤ le mode d'emploi, remis en forme pour une impression éventuelle facile en recto-verso. Il a été formalisé en pdf. Il donne des liens vers différents autres documents, comme pour ceux qui ont leur compteur à l'intérieur et n'ont donc pas besoin de l'huissier (sauf, et c'est un autre cas encore, si pour accéder au compteur le poseur a commis carrément une violation de propriété avec effraction).

    ¤ la signification DE NE PAS FAIRE de 21 pages, à compléter sur les pages 1 et 21. Compléter (y compris à nouveau l'adresse physique du compteur sur la page 21), mais ne rien modifier d'autre. Ce document est en format doc, utilisable par tous les éditeurs de texte, dont LibreOffice bien sûr.

    ¤ un fichier à imprimer et sécuriser (par mise sous plastique dans une papeterie par exemple), et à apposer sur votre entrée, ou celle de votre immeuble (à l'intérieur, visible de l'extérieur) si tous les occupants sont d'accord. Fichier bien fixé, invitant les poseurs à passer leur chemin, et à ne pas tenter de violer une propriété privée (délit réprimé par la loi). C'est valable aussi par exemple si le compteur est dans votre jardin. 


    Bien entendu, si vous exploitez la procédure de l'exploit d'huissier, n'oubliez pas d'apposer une copie de l'assignation près du compteur, d'introduire une preuve de date (journal du jour), et de photographier le tout de façon lisible. Gardez plusieurs exemplaires de la photo dans plusieurs endroits, y compris chez quelqu'un de confiance, avec encore une copie de l'assignation.




    votre commentaire
  • Laissons une filiale à 100% d'un grand groupe international dont l'État français est actionnaire presque totalement, rédiger par écrit ce qu'elle en pense. Nous n'inventons rien bien sûr.




    Au vu de cette légèreté face à à des acquis dont les Constitutions successives n'ont jamais dénoncé le contenu (la propriété de ses propres biens), on peut s'interroger. Il ne s'agit pas du tout, là, de force majeure, mais de satisfaire aux appétits de grands groupes industriels avides de BIG DATA. Que les simples citoyens en soient VICTIMES financièrement (augmentation des factures ET des abonnements, casse trop souvent de leurs appareils électroménagers qu'ils devront remplacer à leurs frais, voire incendies dus à des poses approximatives), ou dans leur santé, n'ébranle en rien la détermination du gestionnaire de réseau, ni des poseurs salariés (le plus souvent au lance-pierre) de sous-traitants pris à la gorge.



    Cela explique sans doute la légèreté des autorités à Annecy : là encore de simples citoyens ont SUBI sans le savoir des essais en réel de la future 5G, bombardés qu'ils furent par de très nombreuses et minuscules antennes cachées dans le mobilier urbain. Pour cet événement-polémique, nous encourageons nos lecteurs à se procurer le dernier Canard Enchaîné, et l'article du Professeur Canardeau.  Nous avions eu la teneur de cette affaire il y a quelque temps, par un autre canal. Celui-ci confirme et explique les enjeux, surtout de l'ordre de la santé.
     

    1 commentaire
  • Nous avons reçu (merci Elisabeth) un document très intéressant émanant du Docteur Santini, Docteur émérite de la Faculté de Lyon :"Votre GSM, votre Santé, on vous ment". Il a fait le résumé de son ouvrage.

    Ce document revisité par nos soins pour la mise en page en particulier est accessible ici :


    On a le sentiment très fort d'une volonté par les "officiels" de détruire les personnes, qui n'ont pas d'importance, afin de promouvoir "une certaine science" à laquelle les humains seraient soumis, au lieu de la relation normale qui serait une science au service de tous.

    C'est pourtant Rabelais, déjà, qui avait relevé que « Science sans conscience n'est que ruine de l'âme » , et en avait fait la démonstration dans son Gargantua. Cependant, à l'époque la science n'était pas encore souvent un instrument de POUVOIR.


     

    Les vrais humains (pas les obsédés de POUVOIR) ne seraient-ils plus que des variables d'ajustement au même titre que des fourmis, avec pas plus, non, pas plus de VALEUR (marchande évidemment) que ces hyménoptères ?

    Des lecteurs sourcilleux vont déplorer peut-être que nous introduisions ici de la politique, alors qu'on parle de science, de santé : en fait tout est lié. Tout acte hors de l'intimité (et même sans doute dans l'intimité) est de nature politique, comme préférer un navet produit localement à une patate douce venue de quelque part très loin. La santé de tous est du ressort de tous. Si vous ne vous engagez pas, vous VOUS condamnez à subir ce que sans doute vous réprouvez.

    Quant au livre, fruit du travail de nombreux scientifiques, donnons-lui tout son poids.







    1 commentaire