• Sur son site, Stéphane Lhomme a mis à jour son éditorial, nous vous invitons à le lire : en quatre pages c'est un bon résumé de l'énorme défi que sont les compteurs communicants pour notre vie future à tous. Oui, à tous, tant de de facteurs entrent en jeu que c'est vraiment important, même pour ceux qui "trouvent ça bien" sans chercher plus loin. Comme cet homme "très important" qui, devant notre proposition d'un trac explicatif, déclarait d'un air très sûr de lui, "Ah oui, le Linky, j'ai demandé à EDF de me l'installer"... Dont acte.

    Voilà le document.

    En vue d'une possible tentative d'explications ce soir, nous en avons tiré une vingtaine d'exemplaires sur un 4 pages A4. Ce soir, à la salle du Vigneau de Saint Herblain, comme nous l'avions signalé le 17 janvier, est ouvert un atelier à propos de "la transition énergétique". Il se trouve que les compteurs communicants sont installés (sans doute par ce qu'on appelle  "un cavalier législatif") en vertu de la loi sur la transition énergétique du 17 août (on appréciera la date) 2015. Loi qui oblige Enedis à les déployer, mais qui n'oblige pas les usagers à accepter ce qui est une rupture de contrat. Entre un 50 Hz "propre", et un 50 Hz pollué en permanence par des salves à 75 KHz (environ), il y a la distance entre une belle route bien plane et un chemin parsemé jusqu'à l'horizon de nids de poules et de cahots divers. D'ailleurs, chez ceux qui en "bénéficient" déjà, beaucoup se retrouvent (Enedis refuse de l'admettre) avec des appareils mis vraiment en panne ; comme Enedis n'en reconnaît pas la responsabilité, ils n'ont plus qu'à les faire changer à leurs frais. 

    S'ajoutent à ce tableau des personnes qui, mises en présence du Linky ou d'autres compteurs communicants, basculent dans l'enfer de l'électro-hypersensibilité : c'est au point que, comme nous l'avions signalé, à Chartres de Bretagne le préfet a fait remettre un ancien compteur en novembre dernier. C'est une première ! Ce ne sera certainement pas le dernier cas douloureux auquel il faudra remédier.

    Ces compteurs ne sont en rien une transition vers une vie en commun plus "verte", mais une mise en application de la collecte fine de nos habitudes de vivre à tous. Belle transition en effet, d'une vie intime respectée, à une vie décortiquée jusqu'à l'absurde (chasses d'eau, choix d'une émission à la télévision, vérification si vous vous brossez les dents, et j'en passe). Les compteurs communicants, c'est tout cela, plus le risque de se voir couper brutalement le courant à distance pour différentes raisons, administratives, de piratage, ou autres.

    Vous êtes toujours partants pour "les nouveaux compteurs ? 

    (n'oublions surtout pas que pour le gaz, on commence par vous prévenir qu'on vous change le compteur par un nouveau assez semblable, non communicant, ce qui oblige à couper le gaz, donc à prendre certaines précautions ; en revanche, au cours d'un second passage où vous ne serez pas prévenu, sans avoir besoin de couper le gaz, le poseur fixera sur le nouveau compteur le boîtier jaune vif qui est le vrai Gazpar : sur les compteurs plus anciens l'afficheur mécanique n'est pas exactement au même endroit, et le nouveau boîtier ne peut y être fixé)

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  • Linky : les compteurs de la discorde

    http://www.epochtimes.fr/linky-compteurs-de-discorde-24248.html


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    Linky : les compteurs de la discorde
    Un compteur communicant Linky. (Wikimedia Commons)
    Avec l’accélération de la pose des compteurs Linky, le bras de fer s’intensifie entre particuliers récalcitrants et Enedis. À Maisons-Alfort, une dame de 84 ans, qui avait signalé son refus, a eu la surprise de voir un compteur installé. Indélicatesse d’un technicien ? Deux maires de Valencisse (Loir-et-Cher) et Thauvenay (Cher), ont refusé ces installations dans leur ville au moyen d’une délibération de conseil par la suite annulée par un tribunal. Face au peu, voire à l’absence d’informations délivrées par les autorités publiques, les citoyens s’organisent par eux-mêmes. Le professeur en médecine naturelle Jean-Pierre Willem alerte sur les conséquences des compteurs Linky.
    La véritable action contre les nouveaux compteurs d’électricité communicants Linky commence à émerger dans l’Hexagone : une course contre la montre est désormais engagée… Ces installations, imposées sans concertation préalable depuis un an, se voient perturbées par de nombreux incidents. Chaque maire, voire chaque institution, a pour consigne de se tenir à l’écart devant ce déploiement à marche forcée et de laisser les Français seuls face à cette pollution sournoise.

    À l’horizon 2021, Enedis (ex ERDF) prévoit d’installer 35 millions de compteurs Linky dans les foyers français. Cette installation fait suite à une directive de l’Union européenne de 2009, qui exige qu’au moins 80 % des foyers soient équipés en compteurs intelligents à l’horizon 2020. À l’extérieur, 740 000 concentrateurs et antennes-relais seront installés dans les rues et multiplieront notre exposition aux champs électromagnétiques.

    Ces compteurs sont dits « intelligents et communicants » ; leur but étant d’informer en temps réel les usagers de la consommation de courant. La technologie utilisée est celle du Courant Porteur en Ligne (CPL) qui a pour application la superposition d’un signal de plus haute fréquence (entre 63 et 380 Khz) au courant alternatif de 50 Hz.

    Des ondes classées potentiellement cancérigènes par l’OMS
    Selon Joseph Birckner, géobiologiste de renommée internationale, « ce deuxième signal se propage sur toute l’installation électrique jusqu’aux équipements. Cependant, le réseau électrique domestique n’étant pas blindé, il est inadapté au transport des hautes fréquences. » Par conséquent, une grande partie de l’énergie injectée par le protocole CPL est rayonnée sous forme d’ondes radio qui se propagent à l’ensemble de l’habitation. Linky transforme donc toute l’installation électrique (fils et appareils inclus) en émetteur permanent d’ondes classées « potentiellement cancérigène » par l’OMS depuis 2011.

    Outre-Atlantique, une quarantaine de scientifiques et de professionnels de la santé au Québec dénoncent une « désinformation flagrante » dans une lettre ouverte : « Les compteurs intelligents sans fil émettent des micro-ondes pulsées atypiques, de très courte durée mais relativement nocives, dont les effets biologiques n’ont jamais été pleinement testés ».
    « Le brouillard électromagnétique ne se voit pas mais est à l’origine de symptômes multiples, qui vont de l’inconfort au malaise extrême. »
    Nous subissons déjà une litanie d’ondes électromagnétiques. La technologie génère des ondes multiples, en basse et haute fréquence, pulsées, non pulsées, modulées en fréquence et en amplitude. Elles sont des milliards de fois supérieures en intensité à nos courants endogènes. Certaines ondes exogènes viennent perturber nos cellules, les désorganisent dans leur fonctionnement.
    « L’électro-hypersensibilité, selon Joseph Birckner se développe à grande vitesse. Les personnes atteintes sont de plus en plus nombreuses et ne supportent plus d’être exposées aux ondes électromagnétiques. Longtemps considérées comme dépressives, simulatrices, psychotiques, ces personnes sont, depuis peu, reconnues comme de vrais malades. Le brouillard électromagnétique ne se voit pas mais est à l’origine de symptômes multiples, qui vont de l’inconfort au malaise extrême. Les maux de tête, les problèmes de sommeil, les fourmillements, l’engourdissement, les troubles cognitifs sont le plus souvent évoqués ». 

    Début de mobilisation
    Face à cette nouvelle pollution, des citoyens se mobilisent et, à travers des collectifs et des associations, demandent aux autorités de santé la réévaluation du bien-fondé de ces installations. Comme cela a été le cas pour le déploiement de la 4G, il semble que, sous la pression des lobbies, la problématique de la santé et de l’environnement n’ait pas été sérieusement étudiée ou prise en compte.

    Combien de temps encore les maires, derniers remparts sur le terrain, resteront-ils sourds au profond mécontentement de leurs administrés ? Comment accepter encore la pose, beaucoup plus silencieuse celle-ci, des compteurs d’eau communicants avec des micro-antennes de 800 MHz posées tous les trois lampadaires par Véolia ?

    Sur le terrain, c’est dans la nuance que procède Enedis quand elle préconise de poser le compteur en l’absence des habitants pour les compteurs accessibles. « Nous n’insistons pas si vous refusez », dit-elle encore via la voix des poseurs sous-traitants. C’est également dans la nuance que les plateformes téléphoniques indiquent, surtout pour les compteurs intérieurs, que vous risquez des sanctions financières en cas de refus alors que rien n’est prévu ni dans les textes ni dans les tarifs d’Enedis.

    Qu’est-ce qui autorise Enedis à agir en sous-main, laissant les sous-traitants en première ligne  ? C’est oublier la surprise de la contestation qu’elle n’a pas appréhendée. Il est primordial pour l’homme d’être en harmonie avec cet environnement. C’est l’un des premiers enseignements de la géobiologie.

    Pour en savoir plus : L’influence du lieu. Géobiologie et santé, par Joseph Birckner, aux éditions Trédaniel.

    Le docteur Jean-Pierre Willem est le fondateur de l’ONG internationale des Médecins aux pieds nus. Il dirige la Faculté libre des médecines naturelles et d’ethnomédecine à Paris.

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  • Ce matin, encore un article dans Ouest France célèbre une nouvelle résistance.

    Nous allons les contacter. Serrons-nous les coudes. Rappelons plus que jamais que si Enedis est tenu de déployer les compteurs par la loi, les usagers ne sont pas obligés de les accepter. Compteurs dont on sait qu'ils ne sont utiles qu'à ceux qui feront appel (moyennant finance, on peut s'en douter même si la société s'en défend) à Enedis pour utiliser ses montagnes de données, globales, mais aussi personnalisées.

    D'ailleurs, il est très facile de passer une loi ou un simple décret permettant à ces demandeurs de BIG DATA de solliciter ces données au grand jour. Et aussi, encore plus vraisemblable, les "services de l'État" pourront impunément vous surveiller de façon précise, pour savoir à quelle heure vous prenez votre café, votre douche ou votre bain, ou d'autres choses encore plus intimes.





    Donc nous soutenons nos voisins, comme ceux des autres régions de France où des personnes armées de leur seul courage et de leur bon droit luttent contre les volontés du capitalisme, pour la santé de tous, pour le droit à la vie privée, pour la lutte contre le gaspillage (35 millions de compteurs électriques en parfait état pour leur immense majorité, 35 autres millions pour l'eau, 11 millions pour le gaz).



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  • Ce matin, à la lecture d'un article paru dans Réseau International, j'ai vu rouge, et je me suis fendu d'un grand "coup de gueule" dans les commentaires. Le voici.
    Jean-Claude

    -:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-

     Ah non, alors !

    La Grande Escroquerie, c'est le nucléaire, dont le coût est annoncé comme artificiellement bas parce qu'il est peu tenu compte de l'indispensable maintenance, parce que les fournisseurs sont des pays pressurés par les colonialistes du CEA et d'EDF, comme le Niger (ce qui offre une grande dépendance à un blocus de ces productions par d'autres comme au hasard les USA), et parce que le coût incommensurable du nécessaire démantèlement des centrales, qui aurait déjà dû commencer pour les plus anciennes, n'est absolument pas pris en compte.

    La grande escroquerie, c'est la destruction par Messieurs les Ingénieurs des Mines des prometteuses avancées en énergie photo-voltaïque où nous fûmes pionniers, et où les entreprises qui s'y sont lancées ont été coulées par les mêmes ingénieurs, qui ne voulaient pas de concurrence à leur cher nucléaire, leur joujou bien propret (vu, Tchernobyl, Fukushima ?).

    La grande escroquerie, si c'est vraiment confirmé, ce sont la moitié des éoliennes qui ne sont pas branchées sur le réseau, sans doute parce que leur électricité est "moins propre" que celle de ces vulgaires bouilloires que sont les centrales nucléaires, aussi bien d'ailleurs que les centrales à charbon, à fuel ou à gaz...

    La grande escroquerie, c'est une politique énergétique A-B-E-R-R-A-N-T-E qui veut depuis trente ans au moins chauffer les habitations avec le pire producteur de chaleur, le "grille-pain", qui chauffe surtout le plafond, afin d'y écouler une énergie nucléaire trop surabondante. Maintenant on pense tout de même depuis un certain temps à calorifuger maisons et appartements, parce qu'on s'aperçoit que cela revient cher pour rien. D'où la (applaudissez !) transition énergétique à laquelle il aurait fallu penser il y a quarante ans au moins, transition qui veut surtout cacher la surveillance de tous via les (hi hi hi) "compteurs intelligents" qui sont surtout, comme l'avoue Philippe Monloubou, président du directoire de ENEDIS, trente-cinq millions de CAPTEURS de notre façon de vivre rien que pour les collectes de données électriques (auxquelles il faudra ajouter 35 millions d'autres pour l'eau et 11 millions pour le gaz.

    Incidemment, bravo pour la prétendue "économie d'énergie" : ces compteurs d'électricité consomment plus que les vieux mécaniques increvables, ils comptent votre électricité non en fonction de l'énergie utilisée, mais de l'énergie dispensée. Là intervient le fameux  cosinus Phi :
    http://www.santepublique-editions.fr/objects/linky-comprendre-le-Cosinus-phi-energie-active-et-energie-reactive.pdf
    et avec les ampoules dites "basse consommation", vous payez le double pour un éclairage identique.

    La Grande Escroquerie est donc partout. Mais pour les éoliennes, il aurait été tellement pertinent de les faire bien plus petites et plus nombreuses, pour éviter les pertes d'énergie le long des grands axes de distribution, et pour éviter qu'un piratage des systèmes de compteurs communicants ne transforme une attaque en UN ou deux points sensibles en Grande Panne généralisée. On se souvient de ce qui était arrivé les 26 à 28 décembre 1999 ? Avec le compteur manipulable à distance, cela peut être bien pire.

    Grande escroquerie ! Oui, elle existe, mais pas là où des intérêts privés veulent qu'elle apparaisse.



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  • Une annonce nous vient ce matin, c'est tout frais. Donc c'est décidé, la 5G arrive même si sa normalisation est seulement en cours. Cela implique à nouveau des antennes toujours plus polluantes, qui s'ajouteront aux autres — et ce, peut-être aussi pour les compteurs communicants, dont les premiers arriveront déjà à l'obsolescence (pour ceux qui seront dehors dans les boîtiers extérieurs). Ce nouveau déploiement n'interviendra pas avant 5 à 10 ans, cela correspond.
     
    Cela signifie que, selon les souhaits des Irresponsables en Chefs, nous baignerons tous dans une purée de plus en plus épaisse de pollutions électromagnétiques et de présence de BIG DATA, de la brosse à dents à obsolescence scrutée, au frigo à remplissage "automatique", de la voiture autonome et BRRRANCHÉE à la tétine du petit, sans doute. Les opérateurs du secteur s'en gargarisent d'avance.
    Il faut comprendre que par rapport aux débits actuels de la 4G, qui est un elle-même un bond technologique par rapport à la 3G dont sont équipés les réémetteurs des Linky et Gazpar en cours d'installation, ce sera encore une grande étape supplémentaire. Des débits, des largeurs de bande multipliés par cent au moins, dans les conditions réelles. Ce sera "nécessaire", pour piloter automatiquement votre voiture pendant que vous lirez votre journal ou les cours de la bourse au volant. Même si, en fait, vous serez dans le bus, sur le chemin de Pôle Emploi, pour rien, parce qu'il y aura encore moins d'offres qu'aujourd'hui.

     
    antenne 5G pour téléphones cellulaires
     
     
    Cela implique également que nous entrons dans les gammes de fréquences de 3 à 30 GHz, des fréquences de plus en plus dures. A comparer aux désormais défuntes Ondes Longues et à France Inter sur 162 KHz... La technique suivra, du moins celle des téléphones, ou des voitures. Vous aurez de la 5G tartinée partout avec autant de constance qu'actuellement les dentifrices au fluor. Les organismes vivants ? On peut déjà se poser la question. Ils seront encore plus, bien plus agressés. D'ailleurs les opérateurs s'ingénient à supprimer les zones blanches, ce qui ne fera certainement pas l'affaire de tout le monde. Cela compte-t-il pour les fous de la technique ?
    Incidemment, pour la "transition énergétique", la vraie, ce sera un mauvais coup supplémentaire, car malgré de grandes promesses d'économie d'énergie ces nouvelles antennes devront être alimentées toujours plus en courant, alors que les Grands Ingénieurs restent engoncés dans le catastrophique tout-nucléaire français.
    Il ne s'agit pas d'être pessimistes, mais de se renseigner de mieux en mieux, et en fonction de cela d'agir si nécessaire auprès des pouvoirs publics. Pour cela, plus nous serons nombreux, plus ces actions pourront avoir de poids, d'où la nécessité d'y penser dès maintenant.

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