• Bonjour à tous !  Toujours la lutte pacifique mais déterminée.

    Après les différentes réunions pour organiser la lutte contre les installations agressives des compteurs linky chez les particuliers,  les différents collectifs et autres associations de nombreux départements français ont décidé de créer un mouvement de protestation........

    en invitant les particuliers à appuyer  sur le bouton de leur disjoncteur........

    à partir de samedi prochain   de 14h à 14h30.........

    et ce, tout les samedi du mois de décembre, janvier , février et mars ....

    ...........ceux qui veulent y participer, sont les bienvenus !


    Faites passer à d'autres associations ou collectifs que vous connaissez ! 

    Bon courage !

    Jean-Claude

    2 commentaires
  • Linky : l’UFC-Que choisir a
    organisé sa propre corruption
    et trahi les consommateurs




    C’était un mystère depuis des mois : tout en reconnaissant que les compteurs communicants Linkyn’allaient pas permettre aux usagers de faire des économies et, au contraire, augmenter les facturespour beaucoup d’entre eux, les dirigeants de l’UFC-Que choisir n’en tiraient jamais la seule conclusion possible pour une association de consommateurs, à savoir contester le déploiement de ces compteurs.

    Dans un premier temps pourtant, dans un article publié le 2 décembre 2015 (1) sous la plume d’Élisabeth Chesnais, explicitement titré « Linky : l’intérêt des consommateurs à la trappe », l’UFC ne mâchait pas ses mots à l’encontre du programme d’Enedis (ex-ErDF) :

    « Linky va alourdir la facture d’électricité des ménages. D’abord parce que même s’il n’apparaît pas en tant que tel et qu’ERDF assure pouvoir le financer par des gains de productivité, son coût pourrait finalement y être intégré via le tarif d’acheminement de l’électricité. Surtout parce que d’après une étude menée par l’UFC-Que Choisir sur un panel de consommateurs, 37 % des ménages consomment au-delà de leur puissance d’abonnement. Les compteurs actuels supportent ces dépassements ponctuels sans disjoncter, Linky pas toujours. De nombreux usagers pourraient avoir à souscrire à une puissance plus élevée, donc à un abonnement plus cher ! »

    Mais, contrairement à certaines de ses associations locales, la direction de l’UFC Que choisir a rapidement « oublié » de s’opposer au programme Linkyet, pire, est étrangement venue au secours d’Enedis, confrontée à une vague de refus.

    C’est ainsi que le dénommé Nicolas Mouchnino, chargé de mission énergie-environnement à l’UFC, a été dépêché dans les médias pour y prendre la place des vrais opposants et prétendre que « refuser la pose de Linky c’est courir le risque de voir son électricité coupée ». Cette menace, avancée par exemple sur France inter (2), dans Le Monde (3) et à de nombreuses autres reprises, est tout à fait contestable mais, quand bien même serait-elle exacte, elle aurait dû susciter la fureur de l’UFC.

    Bien au contraire : obéissant probablement à des consignes, Élisabeth Chesnais a opéré un incroyable retournement par rapport à son article de décembre 2015. Le 2 mars 2016, elle assure (4) que « le client ne peut pas s’opposer à l’installation du nouveau compteur » et que « le refus du conseil municipal (…) n’a pas de valeur juridique. ». Le 6 octobre 2016, elle brandit la menace : « Un refus à vos risques et périls » (5), pour le plus grand plaisir d’Enedis.

    Mais aujourd’hui, le mystère n’en est plus un : c’est pour ses propres intérêts financiers, et non ceux des consommateurs, que la direction de l’UFC Que Choisir fait le jeu du compteur Linky. Tout est parti de l’opération « Energie moins chère ensemble » (6) lancée par l’UFC en juin 2016 : il s’agit de sélectionner un fournisseur d’électricité (ainsi que de gaz) s’engageant à offrir un tarif avantageux aux consommateurs qui participent à l’opération de l’UFC.

    Le lauréat, annoncé fin septembre, est le fournisseur belge Lampiris. Jusque là, rien à dire. Mais, en lisant attentivement les conditions de vente (7), on s’aperçoit (article 20) que les membres de l’UFC bénéficient d’un tarif préférentiel, ce qui pousse bien entendu les consommateurs à adhérer à l’association.

    Et, annexées au Conditions générales de vente de Lampiris, on trouve les Dispositions généralesimposées par Enedis, parmi lesquelles on peut lire que « Le client s’engage à (…) garantir le libre accès d’ENEDIS aux dispositifs de comptage », c'est-à-dire aux compteurs.

    Or, il est fondamental de savoir que, en France, plus de la moitié des compteurs d’électricité sont situés dans les logements, et qu’il s’agit d’un des biais les plus efficaces pour refuser le compteur Linky : qu’il soit propriétaire ou locataire, l’habitant a parfaitement le droit de refuser à Enedis l’accès à son logement et donc la pose du compteur Linky.

    Tout s’explique : pour être en cohérence avec sa propre mission de défense des consommateurs, il fallait que l’UFC appelle à refuser la pose du compteur Linky, se mettant alors en contradiction avec les dispositions générales d’Enedis. Il aurait alors été impossible de mener à bien l’opération « Energie moins chère ensemble »… qui permet de toute évidence à l’UFC de gagner de nombreux adhérents.

    La direction de l’UFC Que choisir semble donc avoir organisé un nouveau genre de corruption, dans lequel c’est le corrupteur qui est démarché et choisi par le corrompu, en l’occurrence l’UFC, qui trahit au passage ses propres missions et, qui plus est, nuit au combat légitime des citoyens qui refusent le compteur Linky.

    Ce mouvement de refus continue bien heureusement à s’amplifier malgré la désinformation orchestrée par Enedis et ses alliés comme la direction de l’UFC-Que Choisir. Des collectifs Stop-Linky naissent partout en France et, au moment où nous écrivons, plus de 300 communes ont refusé le déploiement des compteurs communicants…



    Stéphane Lhomme









    (7) http://refus.linky.gazpar.free.fr/ENEDIS-LAMPIRIS-UFC-1er-10-2016.pdf

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  • Les compteurs connectés ? Quelle joie ! Merci à madame Commission, l'européenne autoproclamée qui ne nous veut que du bien. C'est d'elle que viennent directives et obligations, sous la poussée du Conseil européen formé des ministres concernés appartenant aux vingt-huit gouvernements "connectés".

    Certes, le principe de précaution est largement mis en avant, bien que l'un des candidats français à la relève de mai prochain (celui qui, selon les prescripteurs, aurait le plus de chances) nous "promette" de ne plus en tenir compte parce que cela gêne les industriels. On les comprend, les normes, cela leur coûte cher. 

    En revanche, ces mêmes industriels veulent tout savoir de nous, d'où l'idée de ces compteurs, d'électricité, de gaz, d'eau froide, d'eau chaude pour ceux qui en bénéficient : ainsi toute "consommation" se voit, s'enregistre, se mesure. Des malins affirment même être en mesure, au vu de la courbe de charge de votre compteur électrique, celle que recevra EDF (et les autres fournisseurs d'électricité, voire quelques hackers farfelus ou pervers), de déterminer si vous avez allumé votre télévision, et même, plus pointu encore, quelle chaîne vous avez visionnée. Ou encore si vous avez eu une petite faim ou autre chose la nuit.

    Bien entendu, ces compteurs nous font abondamment "bénéficier" de leurs envois de données, sous formes d'ondes diverses, variées, tous les jours et le plus souvent possible dans la journée.  Pour l'eau ce sera en permanence "pour détecter les fuites", cela permettra aussi de savoir si votre lave-linge a été mis en route à deux heures du matin, ou si un aliment avarié vous a causé des séjours répétés sur le Trône de Fer. N'est-ce pas un peu insidieux ?

    Donc des ondes, plus des ondes, plus encore des ondes, surtout quand les modules ERL seront ajoutés aux compteurs Linky pour en décupler les possibilités de contrôle, et de manœuvre des appareils du logement. Pour rappel, le CPL du Linky va voyager chez vous, et via le réseau chez vos voisins (il n'y a pas de filtre pour l'éviter, dans les compteurs). Cela créera peut-être même de jolies interférences avec des harmoniques très supérieures en fréquence et en intensité au 75 KHz initial (déjà dangereux par ses pulsations même si le niveau paraît faible).




    Ce sera tous les jours, pendant des années, des dizaines d'années : dur pour les plus jeunes, qui auront vécu avec cela en permanence, en plus de tout le reste. Si des cancers, des leucémies, ou d'autres syndromes comme la démence précoce, l'épilepsie, surviennent, ce sera dans des années, et pratiquement improuvable. On peut le constater déjà pour l'amiante, ce sera plus difficile encore.

    Nous avons regroupé dans un fichier ZIP un certain nombre d'articles divers, donnant des explications, ou des commentaires sur le lien entre ces compteurs et les ondes EM en général, et notre santé.


    Bonne lecture !

    Jean-Claude

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  • Ce vendredi 9 décembre 2016, à la salle de la Grande Ouche à Bouguenais (44340), les citoyens étaient invités à venir débattre à propos du compteur Linky, de son compère Gazpar et du petit frère à l'eau. Six membres du collectif s'y étaient rendus.

    Comme récemment à Saint Sébastien, il a fallu ajouter des chaises, car plus de soixante-dix personnes s'étaient déplacées. Des personnes de tous âges. Les questions ont longuement fusé. Le meneur de débat fut très efficace à donner la parole malgré les nombreuses mains levées.

    Le consensus fut très fort à dénoncer les nuisances déjà constatées, seul un jeune homme, tout aussi critique sur le reste, a contesté les nuisances du CPL probablement parce que celui qu'utilise le Linky est bien plus envahissant que les CPL utilisés par la domotique et ceux qui déclenchent les heures creuses ou pleines des ballons d'eau chaude. On n'a pas pu exactement déterminer ces différences d'interprétation, vu le nombre d'interventions.

    La réunion avait été programmée pour un bon jour : on venait d'apprendre qu'un tribunal a donné raison à un électro-hypersensible, au point d'ordonner la repose d'un ancien compteur, et d'interdire dans les voisinages d'autres compteurs connectés. Souhaitons que ce jugement fasse jurisprudence. Une autre nouvelle faisait état d'une effraction caractérisée, une porte de maison forcée par le poseur. Même s'il a tenté de calmer le jeu, ENEDIS n'en sort pas grandi.

    Une pétition a été lancée à l'issue des débats. Souhaitons-lui une bonne efficacité face à l'attitude rigide de Nantes-Métropole. Nous rappelons que monsieur Monloubou, le PDG d'ENEDIS, a bien précisé devant une commission parlementaire que oui, on peut refuser le compteur. Ce qui démonte les tentatives d'intimidation, voire les menaces de certains poseur zélés.





    Merci aux autres participants qui le désirent de donner en commentaire leur version de la réunion. Il suffit de signer de son prénom le texte envoyé sous forme anonyme.

    Jean-Claude

    1 commentaire
  • Nous avons reçu cet avis, et bien sûr nous encourageons tous ceux qui le peuvent à y aller, vendredi soir à Bouguenais (44340).





    Nous sommes déjà plusieurs qui allons nous y rendre. Le but est de créer un vrai débat avec beaucoup de questions "inhabituelles".

    A vendredi !



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